Catégorie : Actus
Emilie Bonnivard est attentive à la situation de Cartonboard, situé a à Valgelon-La Rochette qui produit du carton de qualité dédié à l’agroalimentaire, à l’industrie pharmaceutique et à d’autres usages. La députée accompagne cette entreprise qui rencontre des difficultés importantes. Elle a donc souhaité tenir une réunion le 30 janvier en réunissant les services de l’Etat, les services de l’Agence Auvergne-Rhône-Alpes Entreprises afin que des solutions puissent être apportées à ces difficultés.

SNCF Réseau devait finaliser les travaux de régénération de la ligne ferroviaire entre Chambéry et Modane en 2025. Toutefois, cela impliquait une fermeture de la ligne quelques mois seulement après sa réouverture suite à l’éboulement, pénalisant fortement le trafic voyageurs et marchandises après un an et demi d’arrêt. Coup dur aussi pour la Haute-Maurienne, et le secteur gare de Modane-Fourneaux.
Emilie Bonnivard, Députée, avec les élus du territoire, se sont fortement mobilisés pour demander à SNCF Réseau des alternatives à ces travaux. Le décalage d’un chantier de cette envergure, prévu des années en amont n’est pas chose aisée mais les élus se sont battus car il aurait été incompréhensible de fermer la ligne quelques mois après sa réouverture.
La députée et les élus ont réuni les entreprises ferroviaires de transport et de voyageurs, les représentants des usagers, et SNCF Réseau pour trouver une alternative, avec le soutien actif de la Sous-préfète de l’arrondissement de Saint-Jean-de-Maurienne.
Emilie Bonnivard se réjouit de la réponse positive du Directeur général de SNCF Réseau. Elle salue l’écoute attentive et l’ouverture de la Déléguée régionale de SNCF Réseau avec qui un travail de grande qualité se construit sur de nombreux sujets en Maurienne, notamment dans un contexte complexe. Elle remercie SNCF Réseau pour son engagement pour le territoire.
Emilie Bonnivard a organisé des rendez-vous afin de recevoir ses concitoyens au sein de sa permanence parlementaire à Saint-Jean-de-Maurienne, lors d’une permanence mobile à Barberaz, ou par téléphone. Elle a pu s’entretenir avec 23 personnes et a été sollicitée sur des sujets variés (difficulté de recrutement de personnels qualifiés dans la restauration, maltraitance des animaux, inquiétudes en tant que citoyens, difficultés de recrutement au sein des accueils périscolaires, …). La députée reçoit de nombreuses personnes chaque mois, les aide dans leurs projets ou difficultés, que ce soit au niveau local ou législatif puisque ces échanges nourrissent son action au niveau national, afin qu’elle soit guidée par les attentes de ses concitoyens.

Emilie Bonnivard s’est rendue pendant le mois de janvier à 24 cérémonies de vœux au sein de la circonscription (à Saint-Pierre-de-Soucy, La Tour-en-Maurienne, Fourneaux, Saint-Jean-de-Maurienne, La Chambre, Termignon, Villard-Sallet, Villard-Léger, Villargondran, Aiton, Valloire, Valmeinier, Les Marches, Barberaz, Apremont, Presle, La Trinité, Arbin, Saint-Alban-des-Villards, La Table, …). Ces cérémonies de vœux sont l’occasion pour la députée de remercier les élus municipaux pour leur engagement, de s’informer sur les projets et difficultés des communes et bien évidemment d’échanger avec l’ensemble de ses concitoyens. Il s’agit de moments riches en rencontres.
En outre, Emilie Bonnivard a eu le plaisir d’organiser deux cérémonies de vœux, à Hermillon et Challes-les-Eaux, qui ont réuni près de 450 personnes. La députée a pu partager, avec son suppléant Valentin Hachet, ses vœux de responsabilité collective, de travail et de sérénité retrouvée.

Le 28 janvier, l’Assemblée nationale a examiné la proposition de loi En Marche visant à mieux lutter contre les violences faites aux femmes et aux enfants.
Emilie Bonnivard a porté la voix de la Droite Républicaine dans l’Hémicycle sur ce texte.
Cette proposition de loi vise à rendre imprescriptibles en matière civile les viols sur mineurs, à instaurer la prescription glissante pour les majeurs victimes de violences sexistes et sexuelles, et à intégrer la notion de contrôle coercitif comme processus de manipulation à la base de toute violence intrafamiliale et contre les femmes.
Vous trouverez ci-joint les interventions d’Emilie Bonnivard en vidéo :
- Son intervention à la tribune lors de la Discussion générale expliquant sa position et celle de son groupe sur tous les articles de ce texte éminemment important et attendu par les associations de victimes :
- Son intervention lors des explications de vote final alors que le RN et les groupes de Gauche ont supprimé l’imprescriptibilité civile pour les viols sur mineurs, mesure très attendue par les victimes en raison de la particularité de la temporalité psychique propre au personnes victimes d’incestes ou de violences sexuelles alors qu’ils étaient enfants
Emilie Bonnivard a concentré son propos et son action sur la question des violences sexuelles et viols sur mineur, en défendant ardemment l’article 1.
Alors que le budget 2025 s’apprête à être finalisé, les députés de la Droite Républicaine, dont Emilie Bonnivard, ont fait part à François Bayrou de leur volonté et de leurs priorités dans ce contexte de crise :
- Responsabilité des députés de la Droite Républicaine : pas de censure, notre pays a besoin de stabilité et d’un budget
- Pas de petits chantages
- Mais des exigences fortes : la baisse de la dépense publique doit être la priorité. Pas d’augmentation d’impôt. Les députés de la Droite Républicaine ont proposé des baisses de dépenses publiques concrètes : baisse des budgets des agences de l’Etat et travail pour envisager leur suppression (elles sont plus de 1 000), lutte contre la fraude. Attention à ne pas amener notre pays à la banqueroute en faisant des concessions trop coûteuses.
Emilie Bonnivard a pris la parole lors de cette réunion et a interrogé le Premier Ministre sur 2 sujets. Voici son intervention :
- « Monsieur le Premier Ministre, notre pays vit une crise et une division forte en raison de l’affaiblissement de l’autorité de l’Etat. Des jeunes tuent des jeunes pour un téléphone, la sécurité régresse dans les villes et les campagnes, les narcotrafics explosent. Que comptez-vous faire sur ces sujets régaliens ? Nous devons retrouver de la cohésion nationale et cela passe par de la fermeté sur le respect de la loi.
- Autre sujet : en matière budgétaire, on parle de tout sauf de « l’éléphant au milieu du salon » : le déséquilibre de notre modèle social. Le coût de notre modèle social (retraites, santé, assurance chômage, famille) c’est 800 milliards de dépenses publiques et l’essentiel de notre déficit, alors que le budget de l’Etat (Justice, Sécurité, Education, Défense, etc.) c’est 500 milliards. Dans ce budget d’urgence, vous allez procéder au rabot sur le budget de l’Etat pour faire finalement de petites économies. Je ne le critique pas, car je sais que la situation est éminemment difficile dans l’urgence. Mais comment comprendre que l’on va diminuer le budget des sports, qui est le plus petit budget de l’Etat, pour faire des économies, sans toucher à ce qui nous coûte le plus cher et crée le plus de déficit. Les économies de bout de chandelle, qui ne règle pas le déficit, mais qui impacte fortement des petits budgets vitaux pour une politique publique comme le sport, on ne pourra pas continuer indéfiniment de cette manière. C’est le tonneau des Danaïdes…On remplit un puits sans fond parce que l’on se refuse d’ouvrir les yeux sur le déséquilibre structurel de notre modèle social ».
François Bayrou a répondu à la députée Bonnivard avec les éléments suivants que la députée rapporte :
Sur la question de la sécurité, le 1er Ministre n’a pas réellement répondu mais a indiqué qu’il avait partagé une feuille de route avec Bruno Retailleau et Gérald Darmanin sur le sujet, avec des actions rapides en mettre en place, sans forcément passer par le législatif. Sur le narcotrafic, l’Assemblée examinera dans les prochaines semaines une proposition de loi dont l’examen se termine au Sénat.
Vous avez parfaitement raison sur l’éléphant au milieu du salon. Notre modèle social est durablement déséquilibré en raison de notre démographie notamment. Cela va nous demander dans les années à venir de faire des choix. Mais le contexte politique actuel sans majorité rend toute réforme structurelle difficile voire impossible. C’est la première fois en 2025, depuis décennies, que l’on va voter un budget en réduction…Nous n’avons pas d’autre choix. Nos taux d’intérêt explosent.


Emilie Bonnivard a pu échanger avec le nouveau Ministre de la Santé, son ex-collègue député de l’Isère, Yannick Neuder. La députée a attiré l’attention de Yannick Neuder sur plusieurs sujets spécifiques à la circonscription :
- Situation de l’hôpital de Saint-Jean-de-Maurienne
- Situation de blocage avec la Chaîne Thermale du Soleil sur les thermes de Challes-les-Eaux, et le besoin de son aide pour avancer
- Couverture médicale du territoire et prise en compte des spécificités de la médecine de montagne
Emilie Bonnivard a organisé une réunion le lundi 20 janvier en présence des services de l’Agence Régionale de Santé, le CHS de Bassens, le Département, 3 membres du Conseil d’Administration de l’EHPAD qui se trouvent également être conseillers départementaux, Olivier Thevenet, Béatrice Santais et Jean-François Duc, et les élus du territoire.
Cette réunion avait pour objectif principal de travailler conjointement afin de trouver des solutions de financement de ces travaux de réhabilitation.
En effet, le financement de ce projet constitue un sujet majeur sur lequel travaillent les divers acteurs impliqués en raison tout d’abord de l’explosion des coûts de construction ces dernières années, et qui s’élèvent aujourd’hui à 10 millions d’euros, mais également car la France n’a pas pu, suite à l’attitude irresponsable de députés des extrêmes, se doter d’un budget. Par conséquent, les budgets d’investissement pour ces projets n’existent pas.
La députée s’investit pleinement afin que des solutions de tour de table financier soient trouvées, pour arriver à réaliser des travaux tout en gardant un prix de journée correct pour les familles.
Il s’agit du défi de tous les élus et acteurs impliqués : trouver des solutions à ce sujet qui est essentiel pour le territoire.
Par ailleurs, Emilie Bonnivard s’implique, conjointement aux élus locaux de Val-d’Arc, sur la situation de l’EHPAD au sein duquel les conditions de vie des patients et des soignants qui y exercent ne sont pas satisfaisantes.
La députée a saisi à ce titre sur ces deux dossiers la Ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles, Catherine Vautrin.
Emilie Bonnivard s’est rendue le 9 janvier dernier à l’Assemblée générale de la coopérative laitière de Haute-Maurienne Vanoise.
Cette visite a été l’occasion pour la députée d’échanger avec les producteurs présents, d’évoquer avec eux leurs difficultés et les points de blocage qu’ils identifient. La députée est présente auprès de ces professionnels qui réalisent des productions de qualité mais qui doivent composer toutefois quotidiennement avec de nombreuses contraintes.
Il est des sujets qui rassemblent. C’est le cas de la prise en charge à 100% du coût des fauteuils roulants pour les personnes handicapées. Le député écologiste, Sébastien Peytavie, lui-même paraplégique, a proposé aux députés de se prononcer sur ce projet. Emilie Bonnivard a soutenu en cosignant dès le début sa proposition de loi pour qu’elle puisse être mise à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale et votée.
Cette loi a été votée à l’unanimité !
Emilie Bonnivard l’a soutenue activement. En circonscription, elle a à de nombreuses reprises pu écouter plusieurs personnes en situation de handicap, parfois tétraplégiques, des personnes actives, déterminées, faisant preuve d’un courage exemplaire. La détermination de ses personnes et leurs demandes unanimes d’une prise en charge totale de leur fauteuil, qui est leur moyen de déplacement et d’autonomie, au même titre que les jambes chez les valides, a conduit depuis plusieurs années la députée à se mobiliser pleinement sur le sujet (courriers aux Présidents de la République, etc.). Si la solidarité nationale doit servir à quelque chose, c’est avant tout à soutenir nos concitoyens les plus fragiles, qui ont subi un accident grave de la vie, pour qu’ils puissent vivre le mieux possible, en autonomie, dignement. Les Français, dans leur grande majorité pensent que ces fauteuils sont pris en charge à 100%…Ce n’est pas le cas. La prise en charge de ces fauteuils par l’Assurance Maladie occasionne systématiquement de très lourds restes à charge.
Pourtant, avoir un fauteuil roulant adapté à ses besoins n’est pas une question de luxe, mais de dignité et d’autonomie. La première condition d’accès à la pleine citoyenneté est un droit à la mobilité du quotidien. Ce droit ne peut être conditionné à la situation financière de la personne. Il n’est ni concevable ni même acceptable que de nombreuses personnes en situation de handicap renoncent à changer leur fauteuil à cause du prix de celui-ci.
Cette proposition de loi doit maintenant être inscrite à l’ordre du jour du Sénat, y être votée, pour pouvoir entrer en vigueur.

Emilie Bonnivard a toujours porté la nécessité d’équilibrer nos comptes sociaux, de lutter contre le gaspillage d’argent public, de lutter contre les abus et fraudes aux aides sociales, pour avoir les moyens de répondre aux vrais besoins de solidarité de nos concitoyens en grande difficulté.
C’est le cas de cette proposition de loi qui vise à apporter des réponses concrètes aux familles dont l’enfant est victime d’une maladie grave, reconnue comme affection de longue durée (ALD), ou d’un accident de la vie, pour renforcer leur protection. La détresse de ces familles nous oblige et il appartient à la solidarité nationale de prendre toute sa part à leur accompagnement. L’action des structures associatives est d’ores et déjà remarquable et indispensable. Mais elles n’ont pas la puissance et les moyens de se substituer à l’État.
Cette loi permet à des familles dont un enfant est gravement malade (cancer, maladies graves, handicaps) de bénéficier de davantage de solidarité pour faire face aux lourdes dépenses engendrées par la maladie.
Elle permet :
– d’étendre l’aide apportée par la collectivité pour accéder à un logement décent et indépendant ;
– de suspendre le remboursement d’un crédit en cas d’obtention de droit à l’allocation journalière de présence parentale, pour réduire les charges financières des parents;
– de permettre à l’établissement de santé de pouvoir proposer une solution d’hébergement aux parents ou représentants légaux, à proximité de l’établissement de soins de l’enfant ;
– d’exonérer de taxe foncière les parents d’enfants malades se situant en dessous du plafond de ressources déjà̀ prévu pour les personnes âgées ;
– d’appliquer un reste à charge zéro pour les enfants atteints de maladies graves.