Le 6 septembre Emilie Bonnivard s’est rendue à l’entreprise Cartonboard, à La Rochette. Cette industrie, historique du secteur, vieille de 150 ans, emploie environ 300 salariés. Elle est un acteur majeur de la souveraineté industrielle française et la fierté des Rochetoises et Rochetois. Cartonboard produit du carton de qualité dédié à l’agroalimentaire (cartons de pâtes Barilla par exemple), à l’industrie pharmaceutique et à d’autres usages. Le savoir-faire de ses salariés est reconnu chez les industriels. Emilie Bonnivard, accompagnée du Maire, David Ates, de Béatrice Santais, Présidente de Cœur de Savoie, Marc Duparc, Vice-président à l’économie de Cœur de Savoie, du Conseiller départemental, Jean-François Duc et de Philippe Garzon, directeur d’Auvergne-Rhône-Alpes Entreprises Savoie, a souhaité redire son attachement à Cartonboard et son attention toute particulière à l’avenir de son activité et ses salariés.


L’équipe masculine, classée en nationale 2, fait la fierté du canton de La Ravoire. Emilie Bonnivard a souhaité leur apporter son soutien, le 5 septembre dernier, pour le démarrage de la saison. Elle a souhaité également saluer les bénévoles de l’association qui s’engagent pour faire vivre le basket pour tous nos jeunes dans le canton. Elle a pu également échanger avec le président du club, Raoul Lécuyer, pour identifier des possibilités de mutualisation de gymnases publics pour permettre aux clubs de s’entrainer. Emilie Bonnivard s’est engagée à travailler en lien avec le lycée et la Région (qui a la compétence lycée), pour mettre en place une convention de mise à disposition du gymnase du lycée du Granier, hors temps scolaire, pour le club. A suivre….


La députée est à l’initiative de cette réunion, qui s’est tenue le 2 septembre 2024, demandée en lien avec le Maire, David Ates, aux services de l’Etat et au Département. Le dossier de l’EHPAD Les Curtines de la Rochette est très ancien. Il a subi de multiples rebondissements et aléas. Les Conseils municipaux qui se sont succédé ont fait face à de multiples obstacles pour améliorer la qualité d’accueil des résidents et bénéficier de plus de places d’accueil.
Après évaluation de différentes options, un projet d’agrandissement et de réhabilitation a été privilégié notamment pour conserver sur site ce pôle dédié aux ainés, en lien avec le foyer logement.
Actuellement les Curtines c’est 60 places, 60 professionnels, un taux de remplissage à quasi 100% et 10 personnes en attentes. Le prix journée est de 70 euros en moyenne.
Emilie Bonnivard a rappelé aux acteurs présents le caractère prioritaire et désormais urgent de ce dossier au bénéfice des familles et de nos concitoyens aînés fragiles. La qualité d’accueil des résidents doit être améliorée, de même que les conditions de travail du personnel de l’EHPAD. De nouvelles places doivent être créées. Emilie Bonnivard a insisté auprès du Département et de l’ARS (Agence régionale de Santé) sur le fait que le niveau d’aide aux travaux de l’Etat et du Département devait permettre de maintenir un niveau de prix de journée raisonnable, sachant que le prix pour les résidents et les familles, même s’ils bénéficient des aides du Département, reste élevé.
Emilie Bonnivard a sollicité une nouvelle réunion de travail spécifique sur le budget auprès du Département et de l’ARS.



Emilie Bonnivard s’est rendue dans 3 écoles de Val Gelon La Rochette lors de la rentrée des classes (La Neuve, les Grillons, la Croisette) le 2 septembre 2024. L’objectif était d’échanger avec les élus municipaux qui assument la compétence scolaire pour l’école primaire, et avec le personnel enseignant sur les conditions d’accueil de la rentrée : le maintien ou la suppression de classes est un point de vigilance particulière de la députée. Si en grande section de maternelle, en CP et CE1, les effectifs ne peuvent pas dépasser 24 élèves (point positif pour les apprentissages), il est nécessaire que les autres classes ne soient pas surchargées et que les effectifs restent entre 23 et 27 élèves par classe.
L’équipe municipale de Val Gelon La Rochette a aussi pu expliciter le projet de nouveau bâtiment d’accueil périscolaire à la députée. La députée s’est engagée à soutenir le projet d’accueil périscolaire dans la recherche de financements (Etat, Région, etc.) pour alléger l’effort financier de la Commune.




Emilie Bonnivard a participé à la réunion d’urgence à Modane qui s’est tenue le 30 juillet en présence des services du Département en charge des travaux de sécurisation de la falaise de la Praz à la suite de l’éboulement d’août 2023, de la SNCF, des services des transports de la Région, du Préfet, de la Sous-Préfète, des élus du territoire, des représentants des commerçants de Modane et Fourneaux et des entreprises ferroviaires.
Dans le cadre de cette réunion, le Département a annoncé rencontrer des contraintes géologiques fortes en raison de cavités au sein de la falaise qui imposent un temps de travaux plus long, malgré le doublement des équipes de cordistes qui travaillent postées, et ce 7 jours sur 7. La réouverture de la ligne est alors repoussée à début 2025.
C’est un coup dur pour toute l’économie de Modane et de Fourneaux, mais aussi pour le transport ferroviaire dans notre vallée, avec des impacts pour les usagers du quotidien, lycéens, etc.
Pour la desserte touristique hivernale, la députée a insisté sur le fait que nous pouvions nous appuyer sur l’expérience de l’année dernière qui avait plutôt bien fonctionné, grâce à tous les élus, la Région, la SNCF et les acteurs socioéconomiques et à la Mairie de Saint-Michel-de-Maurienne, qui devient gare TGV finale pour toute la Haute-Maurienne. Par ailleurs, elle a souligné que le TGV d’Italie s’arrêtera à Modane ce qui constitue une bonne nouvelle dans cet environnement difficile.
Enfin, Emilie Bonnivard a travaillé, avec l’ensemble des acteurs impliqués, avec les commerçants pour trouver les moyens de « booster » leur activité et de les accompagner au mieux dans cette situation difficile qui perdure malgré les efforts déployés.

Emilie Bonnivard s’est rendue le 27 et 28 juillet à Hauteville, aux Chavannes-en-Maurienne et à Planaise, et à Montaimont à l’occasion des fêtes patronales, vogues et fêtes de jumelage. La députée a eu le plaisir de participer à ces évènements et a pu saluer le travail et l’implication des bénévoles des comités des fêtes, des élus et des habitants des communes qui se mobilisent pour faire vivre aux habitants, des moments de convivialité, de partage et de bonheur.
Ces rencontres ont également été l’occasion pour Emilie Bonnivard de pouvoir leur faire un retour sur les premiers jours à l’Assemblée nationale. Ces moments d’échange ont permis à la députée d’écouter ses concitoyens pour que son action soit conforme à leurs attentes : trouver des terrains d’entente pour faire avancer le pays et agir avec responsabilité.

Visite à Valmeiner

Emilie Bonnivard s’est rendue à Valmeinier, le jeudi 25 juillet, afin de découvrir les différents équipements communaux installés récemment tels que la base de loisirs des Lières et le centre de secours. Cette visite réalisée avec le Maire Alexandre Albrieux et les élus municipaux pleinement engagés dans la réalisation de ces aménagements, a été l’occasion pour la députée de saluer la mise en valeur de cette commune au travers d’un entretien impeccable et d’un fleurissement de qualité.


Emilie Bonnivard a participé le 25 juillet dernier à une réunion de travail au Centre Hospitalier de la Vallée de la Maurienne afin de réaliser un point de situation sur les travaux d’urgence engagés à la suite des dommages d’infiltration survenus au bloc opératoire.
Dans le cadre de cette réunion- qui réunissait Raphaël Becker, Directeur départemental de l’Agence Régionale de Santé, Martine Berthet, Sénatrice de la Savoie et Conseillère départementale, Sophie Verney, Conseillère départementale, Philippe Rollet, Maire de Saint-Jean-de-Maurienne, Jean-Claude Raffin, Maire de Modane, et les représentantes des médecins- diverses solutions ont été proposées notamment par Madame Stéphanie Resseguier, Directrice du centre hospitalier pour permettre la réouverture du bloc avant la saison d’hiver et distinguer des alternatives possibles. Les problématiques des financements immédiats et à venir pour les travaux « Ségur », les questions des ressources humaines, et l’assurance du soutien des services de santé régionaux et nationaux sont des problématiques qui ont également été soulevées. L’objectif de cette réunion était d’identifier des mesures et orientations fortes qui permettront d’avancer concrètement et de la manière la plus efficace pour la réouverture de ce bloc, mais aussi pour une meilleure prise en charge à l’hôpital et une meilleure écoute des soignants.

Après 7 ans passés à la Commission des Finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire, j’ai souhaité pouvoir changer de commission et j’ai intégré la prestigieuse Commission des Lois avec mes autres collègues de la Droite républicaine.
Mes collègues m’ont confié la mission de « whip », c’est-à-dire de porte-parole pour la Droite républicaine dans cette Commission, ce qui demandera beaucoup de travail et de présence.
La commission des lois traite de nombreux sujets régaliens. Ses domaines de compétence sont les lois constitutionnelles, les lois organiques, le Règlement, le droit électoral, les libertés publiques, les droits fondamentaux, la sécurité, la sécurité civile, le droit administratif, la fonction publique, l’organisation judiciaire, le droit civil, commercial et pénal, l’administration générale et territoriale de l’État et les collectivités territoriales.
Je continuerai à travailler les questions budgétaires au travers d’amendements, et bien sûr à m’intéresser aux questions économiques et fiscales, car elles touchent la vie quotidienne de nos concitoyens et des entreprises.
Un des premiers textes à traiter sera celui de la proposition de résolution de LFI visant à destituer le président de la République.

14 juillet

Emilie Bonnivard s’est rendue le 13 juillet dernier à Bessans, aux côtés du Maire, Jérémy Tracq, et des élus municipaux, à une cérémonie en l’honneur de la compagnie Stéphane qui a résisté à l’occupant en 1944 et 1945 en Haute-Maurienne notamment. Elle a, dans le cadre de cette cérémonie, eu l’honneur de rencontrer les jeunes réservistes rattachés au 13ᵉ Bataillon de Chasseurs Alpins et a tenu à saluer leur engagement.
Emilie Bonnivard s’est également rendue le 14 juillet à Saint-Michel-de-Maurienne, aux côtés du Maire, Gaëtan Mancuso, et des élus municipaux, afin de procéder au dépôt de gerbe en cette journée de fête nationale.
Valentin Hachet, son suppléant, était quant à lui présent à la cérémonie de Modane-Fourneaux.
À l’initiative du député Les Républicains Yannick Neuder, Emilie Bonnivard et près de 160 parlementaires, ont décidé de réaliser une tribune collective afin d’alerter le Gouvernement et de pousser un cri d’alarme face à la dégradation des politiques publiques en matière de soins.
Les parlementaires ont pointé du doigt la rupture de confiance entre les personnels soignants et le Gouvernement et ont demandé à ce qu’une vision pluriannuelle, que les députés Les Républicains appellent de leurs vœux depuis des années, soit mise en place. Il est nécessaire de rétablir une relation de confiance avec les divers acteurs du soins qui constituent les maillons essentiels de notre système de santé.
Vous trouverez ci-joint et via le lien ci-dessous la tribune du député Yannick Neuder, à laquelle Emilie Bonnivard s’associe pleinement, publiée dans le FigaroVox concernant les coupes budgétaires envisagées dans le soin : https://www.lefigaro.fr/vox/societe/penurie-de-medecins-bureaucratisation-de-l-hopital-le-systeme-de-sante-francais-est-au-bord-du-gouffre-20240402
Par ailleurs, conscients que la santé est aujourd’hui l’une des préoccupations majeures des habitants, les élus ont décidé à l’échelle régionale, sous l’impulsion du Président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, de se doter d’un plan ambitieux pour protéger la santé de proximité.
Ce plan, visant à protéger les habitants de la région et leur offrir une couverture médicale adaptée sur l’ensemble des territoires, est élaboré autour de 5 axes structurants, et doté de 100 millions d’euros.
En effet, la politique régionale mise en place vise :
- A ramener des médecins dans nos territoires en les attirant dans les communes rurales touchées par la désertification médicale, en innovant notamment grâce à la mise en place de l’expérimentation du recrutement de praticiens sous statut salarié, en incitant les étudiants en médecine à pratiquer leurs stages dans les territoires et en promouvant un soutien à la primo-installation en zones prioritaires.
- A permettre la délivrance des soins de proximité au plus près des habitants. En effet, la Région amplifie ses efforts pour le développement de maisons et centres de santé, en augmentant notamment le montant de ses aides, porté à 250 000 euros. Elle instaure aussi une aide à l’investissement des pharmacies en zone rurale.
- A garantir que les centres hospitaliers de proximité soient dotés d’équipements modernes dans tous nos territoires, en poursuivant notre effort d’investissement auprès des structures hospitalières de proximité, indispensables à la population, et qui ont besoin d’être rénovées, modernisées et dotées de nouveaux appareils de tels que des IRM ou des scanners.
- A favoriser la prévention et l’accès de tous les habitants de la région à la santé et au bienêtre, en s’engageant notamment dans la lutte contre les Papillomavirus, la protection de la qualité de l’air, mais également l’accès des personnes en situation de handicap à la santé.
- A soutenir la formation, l’innovation et le tissu industriel du secteur de la santé, en ciblant la formation du personnel soignant, l’innovation médicale ainsi que le tissu industriel. La Région soutient notamment l’augmentation du nombre de professionnels formés dans les secteurs en tension et l’innovation pédagogique.
Il s’agit de choix politiques forts, et la Région se donne les moyens d’accompagner le mieux possible les acteurs du soins sur notre territoire. Il est de notre devoir, en tant qu’élus régionaux, d’intervenir sur la santé de proximité et de pallier du mieux possible les insuffisances de la politique nationale menée par le Gouvernement.
sélectionnée par l’Assemblée nationale dans le cadre du Parlement des enfants
Vendredi 29 mars, Emilie Bonnivard s’est rendue à l’école de primaire de Lanslevillard, sélectionnée par l’Assemblée nationale dans le cadre du Parlement des enfants.
Chaque année, le Parlement des enfants, mis en place sous Philippe Séguin, permet à une ou deux classes de primaire ou de sixième par circonscription, d’être sélectionnées pour travailler à une Proposition de loi dont le thème est défini par l’Assemblée nationale.
Le thème de cette année olympique et paralympique était l’incitation au sport chez les jeunes.
C’est l’occasion pour les enfants d’apprendre le fonctionnement du travail législatif.
Emilie Bonnivard est donc allée à leur rencontre, en présence de Madame le Maire délégué de Lanslevillard, Jacqueline Menard, Monsieur le Maire de Val-Cenis, Jacques Arnoux et Madame Cordier-Pade, institutrice, pour répondre à leurs questions sur le rôle du député, le fonctionnement de l’Assemblée nationale, les obligations liées au mandat, etc.
Les élèves ont notamment pu échanger avec la Députée sur les différents articles composant leur Proposition de loi.
Les enfants de l’école de Lanslevillard ont proposé la création d’une salle municipale dans laquelle tous les enfants doivent effectuer une fois par semaine des activités physiques et sportives sous la responsabilité d’un éducateur sportif.

Emilie Bonnivard a porté la voix des Républicains dans l’Hémicycle le jeudi 29 février 2024, pour défendre EDF et les petites entreprises des envolées du coût du prix de l’énergie.

Les Républicains se sont associés dès le départ aux députés Socialistes et Communistes, pour s’opposer au projet Hercule, sous le dernier mandat d’Emmanuel Macron, qui visait à démanteler les activités d’EDF pour les soumettre à la concurrence. C’aurait été la fin de l’énergéticien national, capable de répondre à ce besoin essentiel qu’est la production d’électricité dans notre pays. Si les choses ont évolué depuis, l’Etat étant actionnaire désormais à 100 % d’EDF, les erreurs et revirements du Président de la République en matière énergétique ces dernières années ont conduit les parlementaires Les Républicains, de l’Assemblée et du Sénat – à l’exception initialement des députés de la majorité- à soutenir dès le départ cette initiative des Socialistes et des Communistes, ces derniers ayant accepté une partie des demandes du groupe Les Républicains.
Grâce à cette Proposition de loi, aucune décision stratégique qui pourrait aboutir au démantèlement d’EDF ne pourrait se faire l’avis du Parlement.
Les parlementaires ont donc repris la main sur ce dossier stratégique après des années d’erreurs qui ont conduit à affaiblir EDF, fleuron industriel français.
La députée Bonnivard a notamment indiqué à la tribune :
« La France, jadis leader mondial dans la production d’électricité à prix compétitif, a vu ses prix s’envoler et craindre des coupures de courant au moment des pics de consommation…
La production d’électricité d’EDF a été historiquement faible en 2022, la France devenant importatrice nette d’électricité alors qu’elle fut le 2ème plus gros exportateur mondial. Des industriels (telle que l’entreprise Trimet), ont même dû stopper leur production pour rendre de l’énergie au réseau et éviter de voir exploser leur coût d’électricité.
Si la fixation inique des prix de l’énergie sur le marché européen fait partie des facteurs qui ont affaibli EDF, les erreurs de cette Majorité en matière énergétique ces 7 dernières années ont considérablement affaibli EDF :
– Abandon du projet Astrid (réacteurs nouvelle génération plus performant et moins producteur de déchets).
– Fermeture de la centrale de Fessenheim,
– Confirmation de la fermeture de 12 réacteurs nucléaires, avant un revirement opportuniste à la veille des présidentielles de 2022
– Idée du projet Hercule, aboutissant au démantèlement funeste d’EDF, dénoncé très tôt par le Président de Groupe Les Républicains Olivier Marleix,
– Le statu quo depuis 7 ans sur la possible privatisation de l’exploitation de nos barrages hydrauliques,
– Etc, etc. »
L’objectif de cette proposition était de se prémunir du risque d’un démantèlement d’EDF La détention programmée d’EDF à 100% par l’Etat est souhaitable pour préserver EDF d’influence étrangère, et sortir de la logique du marché pour sécuriser une production aussi stratégique, mais elle n’empêche pas un possible démantèlement.
Le second objectif essentiel de cette proposition était de protéger nos TPE, agriculteurs et petite commune de tout envolée des prix du marché. Elle permettra d’étendre le bénéfice des tarifs réglementés de vente d’électricité (TRVe) à l’ensemble des petites communes et des TPE, sans considération de puissance de leur compteur électrique.
Après 5 refus, devant le vote unanime des députés d’opposition, la Majorité et le Gouvernement à fini par accepté le texe.
La députée d’indiquer à ce sujet : « La sagesse voudrait que quand la Gauche historique et la Droite gaulliste sont d’accord, cela signifie que la ligne de l’intérêt général est trouvée, et qu’il convient de suivre cette voie. Or, il n’en est rien pour la Majorité qui a continué jusqu’à ce matin encore, sa petite gueguerre législative, pour empêcher le texte, parce qu’il ne vient pas d’elle. Non, la Majorité, vous n’êtes pas les seuls à avoir raison. Quand un consensus est trouvé, il serait bon que vous le suiviez parfois, au nom de l’intérêt général. Vous l’avez enfin compris ce matin. Tant mieux. »
Vous trouverez l’intervention de la Députée à ce sujet en suivant ce lien : https://youtu.be/QWrCYwssXJ4
Le Ministre lui répond
Emilie Bonnivard a souhaité appeler l’attention du Ministre Bruno Le Maire au mois de novembre 2023 sur la crise de très grande ampleur que traverse le secteur immobilier français. La Députée de la Savoie a tout particulièrement pointé la crise du marché du crédit immobilier avec des critères et des règles du Haut Conseil de Stabilité Financière qui conduisent aujourd’hui à des refus de crédit ou à des allongements non nécessaires, beaucoup plus coûteux pour les emprunteurs : ces règles bloquent des Français pourtant solvables et finançables, quel que soit leur projet et leur profile ! C’est pourquoi elle demande au ministre d’assouplir, voire supprimer ces règles dictées par le HCSF.
Dans sa réponse à Emilie Bonnivard, début janvier 2024, le Ministre reconnaît la nécessité d’ajuster la mesure qui cible l’offre de crédit en encadrant les conditions d’octroi, et annonce des ajustements supplémentaires pris en décembre 2023, visant tous à ne pas freiner l’offre de crédit. Emilie Bonnivard se satisfait que Bercy entende l’absolue nécessité de relance du crédit immobilier afin de répondre aux demandes des Français qui cherchent à se loger !
Le 25 octobre , en commission des finances, Emilie Bonnivard a soutenu l’amendement proposé par Antoine Armand, député de la Haute-Savoie, dans le cadre de la discussion relative aux crédits de la mission Agriculture.
Alors que le coût du loup en France est de près de 66 millions d’euros et ne cesse d’exploser ces 10 dernières années, la députée a tenu à soutenir cet amendement visant à abonder un nouveau mécanisme d’avance de trésorerie pour les bergers embauchés par les éleveurs pour protéger leur bétail contre la prédation du loup.
Les dépenses relatives aux mesures de protection contre le loup mises en place par les éleveurs (gardiennage, clôtures, chiens de troupeaux), sont indemnisées à hauteur de 80% par l’Etat via le budget de la PAC (2ème pilier). Or, le versement de ces aides arrive entre 6 et 12 mois après l’engagement des frais, comme pour les autres aides de la PAC. Par conséquent, les éleveurs rencontrent des difficultés à avancer ces frais, voire y renoncent, surtout lorsqu’il s’agit de rémunérer un berger pendant un an – ce qui représente une dépense d’environ 20 000 euros.
Cet amendement, qui reconnaît les difficultés auxquelles les bergers font face, est un appel au Gouvernement pour mettre en place un mécanisme d’avance de trésorerie pour les exploitants agricoles qui souhaiteraient embaucher un berger supplémentaire pour faire face à la prédation du loup et qui seraient éligibles à l’aide.
Vous trouverez l’intervention de la députée en suivant ce lien: https://youtu.be/fV7mTfuRG5s

Dans le cadre du débat à l’Assemblée nationale sur la proposition de loi visant à soutenir les femmes qui souffrent d’endométriose, jeudi 12 octobre 2023 Emilie Bonnivard a attiré l’attention des parlementaires et du Gouvernement sur les bienfaits du thermalisme dans le traitement des souffrances dues à l’endométriose. En effet, après avoir rappelé combien l’endométriose est une souffrance pour les femmes et les couples, la députée de la Savoie, Emilie Bonnivard, a souligné que le centre thermal de Challes-les-Eaux, qui a malheureusement fermé récemment, était à la pointe pour le traitement de cette affection en raison de la très haute teneur en soufre de son eau. La cure thermale pouvant ainsi constituer une aide aux femmes qui souffrent d’endométriose, la députée a insisté sur l’importance de travailler sur la question du thermalisme pour soulager et réduire ces souffrances. L’enjeu est aussi que les perspectives de reconversion des Thermes de Challes restent prioritairement axées le soin et le thermalisme notamment pour la sphère gynécologique.
Vous trouverez ci-dessous le lien de l’intervention de la députée :
Communiqué de presse: Emilie Bonnivard saisit Laurent Wauquiez au sujet de l’annonce de la Croix-Rouge
Emilie Bonnivard, députée et conseillère régionale, saisit Laurent Wauquiez, Président du Conseil régional, au sujet de l’annonce de la Croix-Rouge de la fermeture du centre de l’Albaron à Modane.
« Nous sommes convaincus, avec les maires de Modane et de Fourneaux, qu’il existe des opportunités de développement d’activité du centre à creuser : Chantier du Lyon-Turin, JO 2030, etc. Albaron est un centre d’excellence qui dispose, de par ses salariés, d’une expertise en formation et ingénierie de la formation liée aux secours au sens large, extraordinaire. Nous espérons que la Croix-Rouge sera à l’écoute et ne fermera pas la porte aux alternatives » !
La Conseillère régionale demande au Président de la Région de se rapprocher de la Direction générale de la Croix-Rouge pour trouver des alternatives à la fermeture du centre.
Communiqué de presse: Emilie Bonnivard, députée de Savoie, alerte la Directrice générale de la Croix-Rouge sur le projet de fermeture du centre de l’Albaron à Modane
Emilie Bonnivard a souhaité alerter la Directrice générale de la Croix-Rouge sur le projet de fermeture du centre de l’Albaron à Modane. Vous trouverez ci-joint le courrier adressé à la Directrice générale de la Croix-Rouge, visant à affirmer la volonté du Président du Conseil régional, Laurent Wauquiez et de la députée, de travailler conjointement avec la Croix-Rouge sur les propositions pour aider cette structure dans la poursuite d’activité, le développement et les investissements sur le site de l’Albaron.
Tous les élus feront tout leur possible pour qu’une alternative à la fermeture soit travaillée et trouvée.

Communiqué de presse : Alerte des élus locaux et nationaux sur le projet de fermeture du Centre de l’Albaron à Modane au Président de la Croix-Rouge Française
Emilie Bonnivard, députée et conseillère régionale a saisi le 25 janvier 2024, avec les élus du territoire, (de Laurent Wauquiez, Président du Conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes, en passant par les parlementaires et les élus locaux) le Président de la Croix-Rouge sur le sujet de l’éventuelle fermeture du Centre de l’Albaron de la Croix-Rouge, situé à Modane. Vous trouverez ci-joint le courrier de saisine.

lors des débats relatifs à l’inscription de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution
Le mercredi 24 janvier, l’Assemblée nationale a débattu d’un projet de loi gouvernemental visant à inscrire l’IVG dans la Constitution. Après plusieurs étapes de travail transpartisan entre l’Assemblée et le Sénat, un texte a pu être présenté, malgré certains points restant à clarifier. Dans le cadre de la procédure en cas de modification de la Constitution, ce texte devra à nouveau être débattu au Sénat fin février, avant d’être présenté, en cas d’accord, aux parlementaires du Sénat et de l’Assemblée nationale réunis en Congrès début mars, à la demande du Président de la République.
Emilie Bonnivard a porté la voix des députés Les Républicains dans l’Hémicycle. Elle a indiqué être favorable à l’inscription de l’IVG dans la Constitution à condition que l’équilibre de la loi Veil soit également garanti, autrement dit que l’article 1er de la loi Veil soit protégé, « le principe du respect de l’être humain dès le commencement de sa vie ». En effet la loi Veil avait réussi à imposer un équilibre protégeant à la fosi la possibilité pour la femme de recourir à l’IVG tout en protégeant le droit de l’enfant à naître. Avant la 10e semaine de grossesse, soit 2 mois et demi, c’est la liberté de la femme qui prévaut, après les 10 semaines, c’est la protection de l’enfant à naître.
La députée a indiqué qu’il fallait se prémunir de deux extrêmes pour protéger la liberté des femmes de choisir mais également pour respecter la dignité de la vie humaine : une éventuelle régression ou interdiction de possibilité de recourir à l’IVG par décision politique (comme c’est le cas dans 14 Etats des Etats-Unis, ou encore en Pologne ou en Hongrie), mais aussi contre des positions politiques qui existent en France et qui voudraient supprimer tout délai pour recourir à l’IVG. La députée a rappelé que depuis la loi Veil, le délai de recours à l’IVG a été allongé deux fois : à 12 semaines en 2001, soit 3 mois, et à 14 semaines, soit 3 mois et demi, en mars 2022. Elle a rappelé également que lors de la loi bioéthique, la Majorité Renaissance et la NUPES avaient proposé un amendement visant à autoriser l’avortement médical jusqu’à 9 mois pour cause de « détresse psychosociale » de la mère, alors que le Conseil d’Etat avait indiqué qu’un tel amendement serait « illicite ». L’interruption médicale de grossesse jusqu’à 9 mois est possible évidemment en cas de péril grave et imminent pour la vie et la santé de la mère, mais invoquer la « détresse psychosociale » ouvre un champ bien trop ambigu et risqué. Le Sénat avait rejeté cet amendement.
Le législateur doit préserver la conciliation entre plusieurs libertés et droits fondamentaux selon la députée. La députée indique : « Si l’article 2 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen indique clairement que la liberté est un droit fondamental (la liberté de la femme à recourir à l’IVG a été déduit de cet article), l’article 4 de cette même Déclaration définit ce qu’est cette liberté : elle « consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui » ».
Emilie Bonnivard a ainsi rappelé à la tribune de l’Assemblée que le « respect de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation » était également un principe à valeur constitutionnelle duquel découlait la nécessité de respecter aussi le principe du droit de l’enfant à naître.
« Si 81% des Français sont favorables à l’inscription de l’IVG dans la Constitution, et j’en fais partie, je pense qu’ils sont aussi nombreux à rejeter l’idée de supprimer tout délai à l’avortement, et avorter à 7, 8 ou 9 mois par choix. C’est donc cet équilibre dont je veux m’assurer qu’il sera respecté en cas d’inscription de l’IVG dans la Constitution ».

samedi 3 février 2024 à 16h00
sur le canal 13 de la TNT
diffusion en « preview sur LCP vendredi 2 février à 16h00 et sur la chaîne YouTube à 18h00
La chaîne parlementaire LCP fait des magazines « CIRCO » et propose une thématique sur laquelle des députés se sont investis.
Emilie Bonnivard avait rédigé avec ses collègues du Sénat une tribune sous forme de lettre ouverte au Président de la République, parue le 18 février 2023 dans le JDD, Tribune cosignée par 131 parlementaires de la droite et du centre portant sur le patrimoine

C’est donc sur cette thématique de la préservation du patrimoine, notamment religieux, en circonscription, que la chaîne LCP a réalisé ce magazine en Savoie.
Le patrimoine religieux des communes de Saint-Jeoire, de Chignin, de Saint-Jean-de-Maurienne et de Valloire est mis à l’honneur dans cette émission, de même que les difficultés des maires et associations locales pour le préserver.
Cette émission « CIRCO » sera diffusée samedi 3 février 2024 à 16h00 sur le canal 13 de la TNT
Le reportage sera disponible également en « Preview » LCP vendredi 2 février à 16h00 et sur la chaîne YouTube à 18h00
Situation en Ukraine
L’attaque de Vladimir Poutine sur l’Ukraine le 24 février est une fracture violente dans l’équilibre mondial. Le peuple ukrainien est agressé et menacé dans son intégrité. Une désescalade est absolument nécessaire sans quoi nous entrons dans une période de risque majeur aux portes de l’Europe.
Les Députés ont été convoqués le 1er mars pour un débat à l’Assemblée nationale sur la guerre en Ukraine, en vertu de l’article 50-1 de la Constitution.
Les députés ont réaffirmé leur totale solidarité avec le peuple ukrainien, unanimement salué à l’Assemblée à travers son ambassadeur en France. 4 semaines plus tard, force est de constater l’enlisement dans un conflit totalement déséquilibré. La question des rapports de force mondiaux du 21ème siècle est au cœur de ce conflit. Nous devons nous interroger et agir pour assurer la protection économique, sociale et sécuritaire des Français et des Européens de manière sûre, forte et indépendante.
La France et les collectivités locales prennent leur part dans la solidarité due au peuple ukrainien, aux femmes et aux enfants qui fuient le conflit pour sauver leur vie. Je tiens à saluer l’engagement de nos concitoyens qui chacun à sa mesure, a souhaité participer, sous des formes différentes, à ce devoir de solidarité.

La violence guerrière de Vladimir Poutine conduit aussi à de lourdes difficultés pour les peuples européens, en raison du renchérissement du prix du gaz, du pétrole et de certaines matières premières agricoles (blé tendre, par exemple), après deux années de crise et une inflation galopante, déjà préexistante du coût des matières premières. Élus nationaux, il nous appartient de prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger au maximum les Français des effets de ce conflit.
Emilie Bonnivard au service des plus fragiles pour une société plus solidaire
Handicap : avec les Paralysés de France et visite de l’Institut éducatif Saint-Real à Saint-Jean-de-La-Porte
Emilie Bonnivard s’est rendue le 9 mars, à l’invitation de l’Association des Paralysés de France (APF) à une journée de mise en situation de handicap et de débat avec les élus relatifs à l’accessibilité et plus globalement à la place des personnes en situation de handicap dans notre société.
La Députée a pu faire l’expérience de déplacements en fauteuil : « Dans nos communes de montagne avec pentes et dévers, se déplacer en fauteuil est un « chemin de croix », très difficile et surtout pas toujours possible. Vous pouvez rapidement vous sentir en danger. Sans parler des voitures qui se garent sur le rebord de la route obligeant les personnes handicapées à se déplacer au milieu de la route…Cela peut aisément se modifier, par plus de civisme, en pensant à ces personnes. 12 millions de personnes sont touchées par le handicap en France. C’est considérable et cela peut toucher tout le monde, à un moment de sa vie ».
Ce n’est que par des mises en situation que l’on peut réellement comprendre l’immense difficulté et l’immense volonté qu’il faut aux personnes en situation de handicap pour se déplacer, faire des courses, aller à la mairie, etc.
La députée est intervenue systématiquement pour réduire les inégalités qui touchent les personnes en situation de handicap, que le Gouvernement n’a pas corrigées : demande déconjugalisation de l’Allocation Adulte Handicapée, demande de consultation des associations spécialisées préalablement à des travaux dans l’espace public, intervention auprès du Gouvernement contre une mesure visant à réduire l’accès à des fauteuils neufs pour les personnes handicapées, soutien aux structures de langue des signes, encouragement des communes pour la mise en place de jeux inclusifs, etc.
Le 22 janvier, Emilie Bonnivard tenait réunion avec un collectif de parents et de soignants de personnes en situation de handicap, sur les difficultés majeures de recrutement de personnel d’accompagnement au sein des établissements médico-sociaux. La crise du Covid a mis en exergue des métiers qui sont parfois très difficiles, peu valorisés alors qu’ils touchent à l’humain et au devoir fondamental d’une société de prendre soin des plus faibles, et mal rémunérés. La Députée a saisi le Ministre de la santé sur les réformes à porter dans ce secteur.
Elle a visité l’Institut médico éducatif Saint-Real à Saint-Jean-de-La Porte où est réalisé un travail extraordinaire autour d’enfants en situation de handicap pour favoriser leur inclusion, leur épanouissement, leur progression. Il existe de nombreuses structures différentes, répondant à des besoins différents. La société doit être en capacité d’offrir à chaque enfant en situation de handicap, et à sa famille, l’accompagnement qui lui convient, et qui sera nécessairement différent selon son type ou degré d’autonomie et de dépendance.
Prise en charge de nos aînés
EHPAD d’Aiton : nécessaire revalorisation salariale pour les soignants. Un Gouvernement qui n’est toujours pas au rendez-vous des attentes post-Covid
La crise que nous traversons a malmené le personnel des EHPAD, et c’est en partie pour cela que le Ségur de la Santé a accordé une prime de 183 € à tous les salariés des EHPAD de France. Cela n’est pas allé de soi et l’égalité de traitement entre tous les personnels de santé et d’accompagnement au sein des établissements médico-sociaux n’est toujours pas de mise, certains bénéficiant de la prime Ségur, d’autres non, alors qu’ils sont dans les mêmes établissements et effectuent dans la majorité des cas des missions très proches.
C’est particulièrement le cas pour le personnel de l’EHPAD Le Clos Fleuri d’Aiton, pour lequel Emilie Bonnivard est intervenue à de nombreuses reprises, sans réponse satisfaisante, auprès du Gouvernement et de l’Agence régionale de santé.
L’ADMR qui gère l’établissement pour personnes âgées d’Aiton n’a pas bénéficié des revalorisations salariales des EHPAD car il s’agit d’une association de droit privé.
L’ADMR dépend de la convention de la Branche de l’Aide à Domicile (BAD), l’employeur ayant l’obligation d’adhérer pour tous ses salariés à la convention collective concernant sa principale activité qui est le service à domicile. Ne relevant ni du public, ni du privé, les salariés du Clos Fleuri sont les seuls salariés des EHPAD n’ayant pu bénéficé d’aucune revalorisation.
Grâce à une négociation nationale, la convention de la Branche de l’Aide à Domicile (BAD) prévoyait une revalorisation applicable au 1er octobre 2021, ce qui aurait permis un ajustement des salaires de ces personnels par rapport aux autres EHPAD.
En septembre 2021, la Direction territoriale de l’ARS a précisé oralement qu’à partir d’octobre 2021 les salariés de l’EHPAD ne bénéficieraient plus du financement de la prime Ségur parce qu’ils bénéficiaient de la revalorisation salariale de la convention BAD. Ce financement a donc été stoppé depuis octobre dernier sans que cette décision ne soit confirmée par écrit.
Alors que tous les salariés des EHPAD bénéficient de la revalorisation salariale de leur convention ET de la prime Ségur, ce n’est pas le cas des salariés du Clos Fleuri, qui se trouvent à nouveau lésés pour le même métier.
Cette situation conduira, si rien n’est fait, à la démobilisation ou au départ des salariés qui sont objectivement lésés, mais continuent avec dévouement à prendre en charge les résidents.
C’est pourquoi Emilie Bonnivard , est intervenue à plusieurs reprises auprès du Ministre des Solidarités et de la Santé, auprès de la Ministre déléguée à l’Autonomie, auprès de la direction de l’ARS, pour que l’on trouve une solution afin que les salariés de l’EHPAD d’Aiton perçoivent la prime Ségur, à la fois dans un souci de justice pour ces salariés et de continuité de la prise en charge des personnes dépendantes dans la circonscription.
A ce jour, aucune réponse officielle ne lui a été transmise. La Députée reste très mobilisée sur ce dossier.
Après le décès d’une petite fille de 5 ans suite à une collision à ski à Flaine, le talentueux et bien trop jeune acteur, Gaspard Ulliel est décédé de la même façon en Savoie le 19 janvier. D’autres accidents graves ou qui auraient pu l’être ont émaillé cet hiver.
Emilie Bonnivard qui est également monitrice de ski pointe qu’au-delà du fait que les skieurs d’aujourd’hui skient beaucoup trop vite, ils ne maîtrisent pas non plus les règles élémentaires de sécurité sur les pistes.
L’individualisme a aussi gagné la montagne, et souvent, malheureusement, on ne pense qu’à soi, qu’à son plaisir, on oublie que l’on est pas tout seul, que l’on doit faire attention aux autres, on ne connaît plus les règles de sécurité, et des vies sont fauchées.
La Députée exhorte à la prudence et a souhaité avec les socio-professionnels de la montagne organiser une réunion de travail destinée à identifier tous les points d’amélioration de la sécurité sur les pistes : de la prévention jusqu’à, si nécessaire, la sanction. Un travail est engagé avec les représentants des pisteurs, des domaines skiables, des moniteurs, des services de l’État et des Maires pour mettre en place, dans un premier temps, des mesures beaucoup plus claires de pédagogie, de prévention et de présence visible des professionnels sur les pistes pour prévenir les comportements à risque.

La Députée est intervenue dans les médias pour faire passer des messages de prévention, notamment suite aux échanges qu’elle a pu avoir avec le père d’un jeune garçon fauché et multi fracturé par un jeune skieur totalement inconscient, qui skiait beaucoup trop vite, et à qui on avait déjà signifié à plusieurs reprises sa conduite totalement inadaptée.
Vidéo :
Secours en montagne #secoursenmontagne
Le 6 février, à Modane, la rénovation et l’agrandissement des locaux du PGHM (peloton de gendarmerie de haute montagne) et de la CRS Alpes (compagnie républicaine de sécurité) ont été inaugurés, l’occasion pour Emilie Bonnivard de redire sa gratitude à l’égard de l’engagement incomparable de ces serviteurs de la sécurité de nos concitoyens en montagne.
Sans eux, pas d’économie de la montagne, sans eux, des vies seraient perdues !
Leur haut niveau d’expérience de la montagne (ils sont guides pour beaucoup), le travail avec un niveau de risque permanent, suscitent bien évidemment l’admiration et la reconnaissance de tous.
La députée a redit sa pensée pour tous leurs collègues décédés récemment dans l’exercice de leur fonction, et pour leur famille.
Un immense merci à nos gendarmes et CRS pour leur engagement au service de nos vies !
Ski aux Jeux Olympiques et Championnats du monde :
La Région Auvergne-Rhône-Alpes, et tout particulièrement la Savoie, ont été dignement représentées aux Jeux olympiques de Pékin 2022 qui ont démarré le 4 février, avec 53 sportifs régionaux sur 82 membres de l’équipe de France.
Bravo Clément Noël, médaille d’or à Pékin !

Bravo Marie Bochet, médaille d’or aux Championnats du monde !
Le 16 janvier, Emilie Bonnivard a tenu à féliciter très chaleureusement Marie Bochet, grande championne savoyarde : encore une fois sur la plus haute marche du podium aux Championnats du monde! Le ski français est leader mondial grâce à Marie, notamment ! Bravo et merci de faire rayonner notre drapeau !

Crédit : FRANCE3-REGIONS.FRANCETVINFO.FR
Savoie : Marie Bochet une nouvelle fois sacrée championne du monde de descente de paraski alpin
La Commission des finances de l’Assemblée nationale a confié à Emilie Bonnivard la réalisation d’un rapport visant à évaluer le coût actuel de la politique visant à la fois à protéger de manière stricte les grands prédateurs (loups et ours essentiellement) et le pastoralisme, sur les mêmes espaces. La Députée a également abordé la problématique du requin à la Réunion, sujet qui demanderait un rapport à part entière.
La Députée avait elle-même proposé à la Commission des finances de demander une évaluation par la Cour des comptes. Ses collègues ont décidé de lui confier, avec les moyens de la commission des finances, cette mission parlementaire.
Emilie Bonnivard a donc évalué le coût public actuel de cette politique, mais aussi son évolution depuis dix ans, et surtout son efficacité au regard des montants consacrés et de l’objectif poursuivi. Bilan : 56 millions d’euros consacrés par an à cette politique, avec un résultat médiocre, puisque les attaques et les animaux d’élevage morts de la prédation restent à des niveaux particulièrement élevés (plus de 10 000 animaux tués par an). L’argent public et son explosion depuis 10 ans destinés à cette politique de « cohabitation », n’est donc, selon la Députée pas utilisé de manière efficiente. Le rapport de plus de 100 pages comprend 26 préconisations de la Députée pour améliorer cela. Il est le fruit d’un travail de longue haleine qui a nécessité des dizaines d’heures d’audition et de rédaction.
Vous pouvez retrouver la présentation que la Députée a fait de son rapport devant la Commission des finances en suivant le lien :
Le 12 janvier, un texte agricole important portant sur la réforme des outils de gestion des risques climatiques était voté en séance à l’Assemblée nationale
La Députée espère que ce texte apportera plus de sérénité et de visibilité aux agriculteurs face aux nombreux risques climatiques auxquels ils doivent faire face depuis plusieurs années maintenant. En Savoie, toutes les cultures sont concernées et tous les risques présents : les viticulteurs, arboriculteurs et pépiniéristes sont tout particulièrement confrontés aux risques de gel et de grêle, notamment.
Le dispositif devrait permettre d’avoir accès à une assurance à un prix acceptable, avec un partage du risque entre l’agriculteur, l’assurance et l’État, avec une mise en œuvre en janvier 2023.
Il est essentiel que tous puissent s’assurer, pour se protéger par un coût de l’assurance plus accessible.
Emilie Bonnivard a voté pour ce texte, même si l’essentiel des négociations se passera par ordonnance suite à des négociations entre les représentants des filières, de syndicats agricoles, les assurances et l’État. Il conviendra donc d’être attentif aux moyens financiers réels mis par l’État et les assurances pour que ce texte ne reste pas qu’une déclaration d’intention.


Salon de l’agriculture : quelle fantastique vitrine !
La Députée de Savoie s’est rendue le 3 mars au Salon International de l’Agriculture à la Porte de Versailles.
Dans cette période si difficile où nous avons tous conscience que nous sommes à un moment grave et de basculement, il est essentiel de maintenir des moments et rendez-vous essentiels pour nos filières agricoles et agroalimentaires, qui aménagent nos territoires, qui préservent nos espaces naturels, qui maintiennent de la vie, des enfants, des écoles, dans nos montagnes.
Emilie Bonnivard s’est félicitée de voir notre Beaufort et nos fromages AOP et IGP récompensés, une fierté de voir les races tarine et abondance mises à l’honneur, notamment avec l’égérie du Salon, Neige, de la race abondance.
La Députée a rappelé que nous devons protéger notre agriculture de montagne des prédateurs, et d’autres difficultés majeures aujourd’hui qui pèsent sur l’agriculture, comme le risque de flambée des prix dans l’alimentaire en raison de la guerre en Ukraine et de ses conséquences. Pour la première fois depuis des décennies, en 2021, à force d’imposer des contraintes à nos agriculteurs qui ne sont imposées nulle part ailleurs, notre pays est devenu déficitaire dans sa balance agricole commerciale…cela nous interroge sur notre indépendance alimentaire qui a été un cheval de bataille du Général de Gaulle, et de l’histoire de la Politique Agricole Commune… Dans le même temps, alors que nous imposons des contraintes toujours plus lourdes à nos agricultures, nous importons des denrées qui ne respectent pas les règles que nous imposons à notre agriculture. La Députée s’oppose à la nouvelle politique européenne « Farm to Fork » qui vise à réduire encore plus la production agricole européenne. Comme le disait Michel Barnier, si l’Union européenne ne se réforme pas, elle encourt un grand risque. Ce type de décision complètement absurde et ô combien anachronique au regard de la crise que nous traversons avec l’Ukraine, démontre que Les Républicains ont raison, depuis des années, de dénoncer et de s’opposer à cette politique qui ne cesse de « taper » sur nos agriculteurs.
Merci à nos agriculteurs et aux jeunes qui s’engagent dans ce beau mais exigeant métier, qui tiennent le coup. Nous sommes fiers d’eux. Ils nous nourrissent.


NON au Nutri-score pour les fromages AOP et IGP !
Emilie Bonnivard a cosigné fin janvier, avec ses collègues, une proposition de loi qui vise à exclure les produits sous AOP (Appellation d’Origine Protégée) et IGP (Identification géographique protégée) de l’étiquetage Nutri-Score, que le Gouvernement et l’Union européenne envisagent de rendre obligatoire à l’horizon de fin 2022 pour ces produits. Si le Nutri-score est positif pour tous les produits agroalimentaires transformés et industriels, il est totalement inadapté à nos productions agricoles de qualité, qui répondent à des cahiers des charges exigeants en termes de recette et d’origine locale des aliments des animaux. Le Nutri-score ne tient pas compte de la réalité des portions et des habitudes de consommation. Il se fonde systématiquement sur la consommation théorique de 100 grammes de produit alors que, pour le fromage par exemple, la consommation moyenne est de l’ordre de 35 grammes par jour en France. De plus, il ne donne pas d’informations sur le degré de transformation du produit et la présence d’additifs, colorants ou conservateurs, pas plus que sur son impact en terme d’environnement : ainsi, les fromages, qui sont fabriqués à partir d’une liste d’ingrédients simples (lait, ferments et sel) et sans additifs, à partir de recettes traditionnelles éprouvées, se trouvent paradoxalement moins bien notés que certains produits industriels hyper-transformés ! En bref, le Babybel est mieux noté que le Beaufort. Le Coca zéro est mieux noté que le Reblochon ! Nos fromages sous signe officiels de qualité et d’origine (SIQO) sont des productions locales et pâtiront d’un Nutri-score E, donc « mauvais pour la santé », alors que le Coca Zéro lui, ne rencontrera pas cette difficulté. Les pouvoirs publics, depuis des années, s’efforcent, dans les cantines, de promouvoir des produits locaux et issus d’une agriculture de qualité. L’application du Nutri-score à ces formages sous SIQO est totalement contradictoire avec toute cette politique publique, raison pour laquelle nombre de parlementaires ont demandé l’exclusion de ces fromages spécifiquement, qui ont un label précis et exigeant, du Nutri-score.
Défense du pouvoir d’achat
Pour Emilie Bonnivard, la flambée des prix de l’énergie impose d’utiliser au plus vite tous les leviers dont nous disposons, pour les particuliers, mais aussi pour toutes les entreprises qui commencent à produire à perte. Le contexte de la guerre en Ukraine remet notre indépendance énergétique au cœur du débat, comme cela a déjà pu être le cas avec l’émergence du mouvement des gilets jaunes en 2018 à la suite des hausses des taxes sur les carburants décidées par le Gouvernement.
Avec un prix à 2 euros par litre, les habitants des territoires ruraux et de montagne sont particulièrement pénalisés par cette hausse qui impacte violemment leur pouvoir d’achat. Cette hausse concerne directement de nombreux secteurs économiques (transporteurs, agroalimentaire, BTP, agriculteurs, industries, artisans et commerçants).
Les professionnels devant utiliser dans le cadre de leur travail leur véhicule quotidiennement, comme les infirmières et aides à domicile, les taxis, sont également fortement pénalisés par cette explosion. Leur tarifs sont encadrés et ils ne peuvent en aucun cas répercuter cette hausse sur leur patients ou clients…
La réalité est que les taxes représentent plus de la moitié du prix du carburant. Plus celui-ci augmente, plus l’Etat engrange des recettes liées à ces taxes. Selon la Députée, il était nécessaire baisser les taxes sur le carburant, TVA et TICPE, à la base, plutôt que de les percevoir puis d’en redistribuer une partie.
FERROPEM
Suite à la catastrophe vécue par avec la fermeture du site de Chateaufeuillet, alors même que l’indépendance industrielle n’a jamais été aussi essentielle, Emilie Bonnivard et Vincent Rolland se sont associés à la proposition de loi que leur collègue Olivier Marleix a déposée, en février, pour protéger ces sites stratégiques d’une fermeture évitable. Cette proposition a été rédigée après leur visite avec Valérie Pécresse et Michel Barnier à Chateaufeuillet.

La Députée Bonnivard a écrit récemment à la direction de Ferropem, en mettant en copie de son courrier la Ministre en charge de l’Industrie, pour les interroger précisément sur leur intention de réinvestir sur le site de Montricher qui fait l’objet d’un sous-investissement chronique, qui ne permet pas à l’usine de fonctionner en pleine productivité et qui peut constituer aussi un risque en matière de conditions de travail pour les salariés. La Députée a encore eu une réunion le 31 mars avec le Cabinet de la Ministre sur la situation de Ferropem à Château-Feuillet. Tous ont insisté sur l’absolue nécessité de trouver un repreneur à ce site.
MALI
La menace terroriste jihadiste est la plus importante que connaît notre pays. Le retrait de nos soldats du Mali, mi-février, dans des conditions extrêmement dures à l’égard de la France par la junte militaire malienne, a conduit Emilie Bonnivard, en premier lieu, à penser profondément à nos 53 soldats tués lors de cette opération et à leur famille. Elle redit notre infinie gratitude pour leur engagement pour notre sécurité, celle d’un monde libre.
Partout, ici et ailleurs, il nous appartient de lutter contre cette idéologie islamiste radicale destructrice, qui sépare et divise.
Espérons que le redéploiement de nos forces armées alentours permette de continuer à affaiblir le terrorisme dans cette zone, tout en permettant à nos soldats d’intervenir dans de meilleures conditions.
Samedi 19 et dimanche 20 mars, Emilie Bonnivard a pris part aux cérémonies en commémoration des 60 ans du cessez-le-feu qui a amené à la fin de la guerre d’Algérie.
La Députée a souhaité remercier les Anciens combattants et les élus qui ont organisé ces cérémonies. Cette guerre a été une véritable et profonde souffrance pour notre pays. Les cicatrices n’en sont pas encore guéries. La mémoire des 30 000 soldats morts lors de ce conflit a été saluée, ainsi que celle de toutes les victimes civiles et militaires.
Présente à Chamousset où une place du 19 mars 1962 a été inaugurée, Emilie Bonnivard a assisté aux cérémonies de Porte-de-Savoie et de Saint-Jean-de-Maurienne. Elle a également souhaité le dépôt d’une gerbe au monument aux morts de La Ravoire.

