Félicitations à Martine Berthet, réélue en tête comme sénatrice LR de la Savoie. Bravo à Cedric Vial qui devient sénateur et également à Michel Dantin, qui a pris une décision courageuse, que je salue et qui lui ressemble.Bravo à tous les autres candidats, car une campagne c’est beaucoup d’engagement, beaucoup d’énergie, et c’est essentiel pour faire vivre notre démocratie.Et un immense merci à Jean-Pierre Vial, sénateur LR sortant, qui ne s’est pas représenté. Un grand élu pour la Savoie, nos industries et nos communes, qui passe le relais. Merci pour tout Jean-Pierre !
Auteur/autrice : admin
Hémicycle : un moment de grande émotion lors de l’hommage rendu à Jacques Chirac, à l’occasion de la pose d’une plaque de cuivre en son honneur, place 99 de l’Hémicycle. Un moment fort de communion républicaine.
3 auditions relatives au rapport budgétaire sur le tourisme d’Emilie Bonnivard : état de la fréquentation touristique en Ile-de-France, qui a perdu une part considérable de la clientèle étrangère et du tourisme d’affaires ; point avec le Ministère de l’économie sur les aides d’urgence pour la filière et leur suite ; point avec la Banque de France sur la balance des paiements : moins de recettes liées aux dépenses des étrangers en France mais un vrai gain de dépenses des Français en France.
Le mercredi 15 septembre, Emilie Bonnivard s’est rendue au col de la Loze à l’occasion du passage du Tour de France en Savoie. Après avoir passé la nuit dans l’hémicycle à défendre des textes importants, elle a tenu à être présente lors de cette magnifique étape du Tour, entre Méribel et Courchevel, qui a mis en valeur cette route difficile et peu connue de Montgellafrey.
Toujours ces si belles sensations provoquées par le tour, même en temps de Covid, même en septembre… Le Tour, au-delà de la course et des performances des coureurs, c’est aussi le moment où de nombreux territoires de France, peu connus, un peu méprisés parfois pour leur aspect rural et éloigné, bombent le torse et disent « c’est chez nous que ça se passe, la plus belle course cycliste du monde » a souligné la députée.
«En Tarentaise, j’ai suivi la course en Maurienne et dans le Val Gelon, sur écran et ai eu le plaisir de ressentir cette fierté simple, et ce bonheur du cœur, de voir notre pays sur écran, si beau ! Cette joie, je sais que beaucoup d’entre vous l’avez ressentie aujourd’hui sur les bords de routes ou devant vos écrans.
Vive le Tour, Vive la Savoie, Vive la France !» Emilie Bonnivard
L’expérimentation Territoires zéro chômeurs de longue durée vise à accompagner la réinsertion par l’activité économique. A l’échelle d’un territoire, elle propose à tout chômeur de longue durée qui le souhaite, un emploi à durée indéterminée et à temps choisi, en développant et finançant des activités utiles. La valeur travail y devient un moyen au service de l’estime de soi, de l’autonomie, d’une inclusion sociale retrouvée et cette expérimentation vient réparer des parcours de vie difficiles.
Emilie Bonnivard est intervenue en séance, le 15 septembre 2020, lors de l’examen de la proposition de loi visant à renforcer l’inclusion par l’activité économique et l’expérimentation Territoire zéro chômeur de longue durée.
Dans l’hémicycle, la députée a tenu à rappeler que la Savoie dispose de formidables structures d’inclusion telles que Deltha Savoie, Terre Solidaire, Fibr’Etik et les Ateliers de Maurienne, par exemple. Elle a également souhaité saluer le travail de tous les dirigeants, des bénévoles, des salariés permanents et des salariés en insertion de ces structures qui font un travail remarquable.
Emilie Bonnivard : « Nous avons aussi une démarche initiée de Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée en Coeur de Savoie. J’interviendrai pour soutenir l’extension de territoires zéro chômeur afin d’être sûre que ce territoire y soit éligible, alors que le nombre de nouveaux territoires est plafonné à 40 (120 territoires ont candidaté). Mes objectifs sont simples : déplafonner le nombre de territoires éligibles et faciliter leurs recrutements. »
Alors que l’actualité est au remaniement gouvernemental, les députés continuent d’examiner le projet de loi de finances rectificative n°3 visant à accompagner nos entreprises à sortir de la crise.
Parmi les mesures emblématiques de ce projet de loi figurent les exonérations de cotisations et contributions patronales pour certaines entreprises, sur la période de confinement, de même qu’un certain nombre de mesures visant à alléger leur fiscalité comme la possibilité d’exonération de la taxe de séjour et d’une partie de la cotisation foncière des entreprises, selon le choix des collectivités.
Si l’exonération de charges avait été portée par Les Républicains lors du dernier PLFR 2 voté le 23 avril 2020, c’est une satisfaction de voir cette mesure finalement acceptée par la Majorité, bien qu’elle arrive un peu tard (certains prélèvements ayant été opérés, l’administration va devoir y revenir, creusant de manière inutile les trésoreries déjà fragilisées des entreprises).
Toutefois, le dispositif d’exonération choisi par le Gouvernement est très complexe. Il établit plusieurs catégories bénéficiaires, en exclut d’autres, et risque de décevoir de nombreuses entreprises. Selon la députée, « il risque d’y avoir beaucoup d’entreprises qui restent sur le côté. Le format choisi est complexe. On aurait préféré une exonération totale pour tous les secteurs économiques, à partir de 60% de pertes de chiffres d’affaires et une exonération proportionnelle en-deçà de ce niveau de pertes. L’objectif c’est évidemment que les entreprises qui sortent seulement la tête de l’eau, ne se voient pas à nouveau mises en difficulté de trésorerie au moment du paiement du total accumulé de leur dette sociale. L’objectif c’est de consolider tout notre tissu économique alors que la reprise est fragile et lente. Par exemple, le transporteur qui aura perdu 50% de son chiffres d’affaires ne sera pas éligible à cette exonération. Il pourra éventuellement obtenir 50% d’exonération, sur dossier, et si l’administration fiscale estime qu’il peut en bénéficier. Donc rien d’automatique. Évidemment c’est une satisfaction de voir le secteur du tourisme bénéficiaire du dispositif, mais malheureusement, beaucoup d’autres secteurs ont été touchés ».
En effet, l’exonération de charges prévue dans le PLFR sera totale (100%) pour :
- Les entreprises de moins de 10 salariés ayant subi une fermeture administrative, tous secteurs confondus.
- Les entreprises de moins de 250 salariés relevant des secteurs du tourisme, de l’hôtellerie-café-restauration (HCR), de la culture, de l’événementiel et du sport.
- Les entreprises de moins de 250 salariés de secteurs dépendant du tourisme, des HCR, de l’événementiel, de la culture, du sport MAIS ayant perdu au moins 80% d’euros de leurs chiffres d’affaires pendant la période de confinement. Par exemple, le secteur de la viticulture relève de cette catégorie.
En montant à 80% le niveau de pertes de chiffres d’affaires pour être éligible à l’exonération pour les entreprises dépendantes sur secteur tourisme, le dispositif risque également d’exclure nombre d’entreprises, puisqu’elles se sont battues pour conserver quelques marchés (grande distribution) et ont gardé un minimum de chiffres d’affaires. Que se passera-t-il pour le viticulteur qui aura perdu 50, 60, voir 70% de son chiffre d’affaires ? Il n’aura pas accès à l’exonération. La députée a proposé pour plus d’équité qu’au-delà de 60% de pertes, l’exonération des charges puisse être totale, seuil plus crédible selon elle, et qu’en deçà une exonération proportionnelle puisse être mise en place.
Si ces amendements n’ont pas été adoptés, ils ont permis d’attirer l’attention du Gouvernement sur la nécessité de pouvoir revenir sur ce taux très élevé de 80% de pertes de chiffres d’affaires pour bénéficier du dispositif. Le paiement de ces charges, pour des entreprises sorties de la crise en difficulté, alors que la reprise n’est pas encore au rendez-vous, dégradera encore un peu plus leur trésorerie et leur capacité à rebondir. L’objectif est bien de sauver sur le moyen terme nos entreprises, afin qu’elles conservent leurs emplois.
Par ailleurs, pour les autres secteurs d’activité (transport, etc.), une exonération de 50% sera éventuellement possible, mais dérogatoire, pour :
- Les entreprises comptant moins de 50 salariés, si celles-ci ont perdu au moins 50% de leur chiffre d’affaires et si l’administration fiscale juge que leur situation justifie l’exonération. Sur ce point, Emilie Bonnivard a alerté le Ministre du Budget sur le risque d’avoir des évaluations très différentes de la part de l’administration fiscale, ouvrant le champ à des conflits d’interprétation, et à des difficultés supplémentaires d’entreprises.
Enfin, la députée est heureuse qu’une de ses propositions, dans le cadre de son rapport budgétaire sur le tourisme de juin 2020, ait été acceptée par la Gouvernement. Il s’agit de l’attribution d’un budget supplémentaire de 5 millions d’euros pour la promotion de la destination France notamment pour la clientèle européenne en vue notamment de préparer la saison d’hiver à venir.
Intervention d’Emilie Bonnivard sur les difficultés à venir du secteur agricole
Intervention d’Emilie Bonnivard sur l’amendement tourisme
https://www.youtube.com/watch?v=ebITsRLd0is
Intervention d’Emilie Bonnivard sur les viticulteurs
En avril dernier, à la suite de visites au centre pénitentiaire d’Aiton, Emilie Bonnivard, Conseillère régionale, avait saisi le Président Laurent Wauquiez pour que la gratuité dans les transports régionaux (TER et Cars Région) puisse être étendue aux surveillants pénitentiaires. Cette gratuité avait déjà été mise en œuvre, auparavant, pour les gendarmes et les policiers.
Eu égard à la mission de sécurité assurée par le personnel pénitentiaire, Emilie Bonnivard, souhaitait que ce dispositif soit étendu à ces agents exerçant un métier difficile et vital pour la sécurité des Français.
Le Président de Région a été sensible à cette demande et l’extension de la gratuité pour les personnels pénitentiaires et douaniers a été votée lors de la Commission Permanente du 20 décembre dernier, pour une effectivité au 1er janvier 2020. Cela représente un potentiel d’agents éligibles de 700 douaniers et de 3 200 agents pénitentiaires.
Bonne année 2020 !
Une fois n’est pas coutume, alors que les députés siégeaient lundi 22 octobre dans la soirée à l’Assemblée nationale dans le cadre du Projet de Loi de finances pour 2020, un amendement porté à la fois par une petite partie des députés En Marche, par les Socialistes et les Républicains, a été voté à une très courte majorité, dans l’Hémicycle, contre l’avis du Gouvernement, à 89 voix contre 77.
Le sujet était suffisamment partagé, pour dépasser les clivages, puisqu’il s’agissait de savoir si le mouvement sportif en France est suffisamment soutenu par l’Etat. Qu’il s’agisse des associations fonctionnant essentiellement grâce aux bénévoles, ou des infrastructures dans les territoires, financées majoritairement par les collectivités locales, la réponse donnée par la majorité des députés lors de ce débat était clairement non.
Le sport en France est financé en partie grâce aux recettes de la taxe dite « Buffet » sur les droits de retransmission télévisée de manifestations sportives. La part de recettes réellement affectée au mouvement sportif a été plafonnée avant d’être diminuée à 133,3 millions en 2018 puis 146,4 millions en 2019 (cette augmentation servant essentiellement le financement des infrastructures en vue de l’accueil des JO de Paris). Ces diminutions sont d’autant plus choquantes que les recettes de cette taxe pour le budget de l’Etat ont au total fortement augmenté ces dernières années. L’amendement visait simplement, à rehausser de 15 millions d’euros le plafonnement de cette taxe au bénéfice du mouvement sportif.
La députée Emilie Bonnivard, elle-même monitrice de ski et ayant pendant sa jeunesse, bénéficié de l’engagement de ces bénévoles qui font vivre le sport partout dans nos territoires, a soutenu par deux fois ces amendements. Par deux fois, car grande déception, à 2h30 du matin, en fin de lecture du Projet de loi de finances, après avoir rappelé sa majorité à l’ordre, le Gouvernement a demandé une deuxième délibération sur le vote : cette fois la hausse du budget dédié au mouvement sportif a été rejetée.
Selon la députée « c’est une grande tristesse, car la démocratie se grandit quand les députés jouent pleinement leur rôle de représentant du peuple, et non de représentant d’intérêts politiques particuliers, ou de simple porte-voix du Gouvernement. On peut s’interroger aussi, avec ces deuxièmes délibérations s’il ne s’agit pas d’une forme de déni de démocratie, surtout lorsqu’une partie importante de députés ne siège pas. Nous sommes tous majoritairement convaincus que le sport en France, à la base, n’est pas soutenu à une sa juste valeur. Chaque fois que je me rends à une assemblée générale ou à une manifestation sportive, que vois-je ? Des bénévoles passionnés, qui passent une énergie phénoménale à aller chercher, à droite et à gauche, 500 euros de subvention pour que vive leur club. Cette énergie ne devrait pas être gaspillée ainsi et devrait être réservée aux projets sportifs. Ce sont ces associations qui forment nos jeunes, en complémentarité de l’école et de la famille, à la vie en société, qui leur transmettent des valeurs d’effort, de solidarité et de respect. C’est parfois grâce ces associations que des jeunes en difficulté s’en sortent. C’est aussi grâce à elles que l’on voit éclore de grands champions qui font rayonner notre Nation. C’est encore grâce à elles, qu’à l’âge adulte, on maintient une activité physique et sociale autour d’une passion commune. Hier nous avons eu un beau moment de démocratie à l’Assemblée sur le sujet, où les députés ont montré leur indépendance, dommage que l’essai n’ait pas été transformé… »
Le vendredi 15 novembre au matin, Emilie Bonnivard députée de la Savoie et conseillère régionale, a eu le plaisir de visiter l’entreprise Leborgne sur son site d’Arvillard, entreprise savoyarde d’outillage professionnel pour le BTP et le jardinage, presque deux fois centenaire.
Au cours de cette visite, Emilie Bonnivard a pu suivre l’ensemble du procédé de production, en passant par l’atelier de fabrication, la forgerie, le bureau d’étude et le pôle Recherche et Développement. Elle a salué la grande modernité et exigence de l’entreprise, la compétence des salariés. L’entreprise est très attachée à la qualité, ce qui lui vaut d’être leader français dans son domaine d’activité.
Les discussions ont porté sur les projets à venir de l’entreprise Leborgne, ses perspectives et les axes d’accompagnement du Conseil régional dont elle pourrait bénéficier.
Les innovations de produits dans l’univers du jardin et du bâtiment permettent à l’entreprise savoyarde d’envisager l’avenir avec beaucoup de sérénité.
La députée Emilie Bonnivard a remis en mains propres, avec le député Vincent Rolland, au ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, un courrier l’alertant sur l’inadéquation d’une mise en application de la réforme du baccalauréat pour les élèves en section sport de haut niveau, actuellement en terminale et passant leur bac en 4 ans.
La mise en place de la réforme du baccalauréat pour les élèves sportifs de haut niveau et plus particulièrement pour les élèves des sections skis et snowboard des lycées : Jean Moulin à Albertville, Ambroize Croizat à Moûtiers, Jean Prévost à Villard-de-Lans et Mont-Blanc René Dayve, s’avère effectivement incompatible avec le calendrier de leur cursus et soulève beaucoup d’inquiétudes.
Les élèves des Pôles France-Espoirs bénéficient d’une scolarité aménagée, la première et la terminale s’effectuent en trois ans. Les élèves actuellement concernés par la réforme ont terminé le programme de première avant les vacances de Toussaint et démarrent aujourd’hui leur année de terminale.
En l’état, il leur est demandé de présenter un baccalauréat pour lequel ils n’auront pas pu recevoir les nouveaux enseignements. Cela serait totalement injuste et discriminatoire pour des jeunes lycéens qui travaillent doublement pour pouvoir concilier enseignement sportif et scolarité.
Le ministre de l’Education nationale a en effet admis que la situation de ces lycéens, au cursus particulier n’avait pas été identifiée au moment de la mise en place de la réforme, peu d’élèves étant concernés.
L’idée serait que les élèves actuellement en terminale puissent passer le baccalauréat ancienne version pour lequel ils ont effectivement été préparés. La réforme pourra s’appliquer pour les élèves actuellement en première et en seconde.
Le ministre de l’Education nationale s’est engagé à faire examiner la situation rapidement, pour un règlement de cette difficulté dans les meilleurs délais. Les députés Emilie Bonnivard et Vincent Rolland restent particulièrement attentifs à ce dossier.
Ce lundi 28 octobre au matin, Emilie Bonnivard a reçu des représentantes syndicales FO et CGT des hôpitaux de Saint-Jean-de-Maurienne, de Modane et de l’EHPAD d’Aiguebelle.
L’objectif était de faire le point sur les difficultés et besoins de ces établissements hospitaliers en personnel (infirmières, aides-soignantes et agents des services hospitaliers) et d’évoquer l’avenir de ces sites.
L’essentiel des discussions a concerné les difficultés que rencontrent actuellement les services des urgences, le manque de personnel, l’attractivité salariale des métiers, le temps de travail et enfin le besoin de renfort pendant la saison hivernale.
Courant juillet, la députée avait rencontré le nouveau directeur de l’hôpital, monsieur Jean-Michel Hue, de Saint-Jean-de-Maurienne pour évoquer toutes les options visant à consolider l’activité des services hospitaliers en Maurienne.
La députée s’est engagée à solliciter le directeur général de l’agence régionale de santé (ARS), monsieur Jean-Yves Grall, pour faire état des attentes en lien avec le directeur, Jean-Michel Hue.
Elle sollicitera également la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, sur son plan d’actions pour revaloriser le métier d’aide-soignant(e) et attirera son attention sur la situation des hôpitaux en Maurienne.
Les deux dernières semaines, la députée siégeait à l’Assemblée nationale, dans le cadre du Projet de Loi de Finances 2020 et du Projet de Loi de Financement de la Sécurité sociale 2020. En cohérence avec ce sujet de l’accès aux soins, elle est intervenue en séance le 25 octobre dernier, sur la nécessité de consolider les services de maternité en zone de montagne. Vous pouvez consulter son intervention et la réponse de la ministre des Solidarités et de la Santé en visionnant les vidéos sur les liens suivants :
Le jeudi 20 juin, Laurent Wauquiez, président de Région Auvergne-Rhône-Alpes, s’est rendu à Apremont pour constater les dégâts sur le vignoble savoyard. La députée de la Savoie et Conseillère régionale Emilie Bonnivard a tenu à être présente à ses côtés pour rencontrer les victimes des intempéries.
La Région est proche des viticulteurs, maraîchers et arboriculteurs touchés par le grêle et met en œuvre tous les moyens possible pour les soutenir en cette période particulièrement difficile.
C’est pourquoi Laurent Wauquiez a annoncé plusieurs actions pour soutenir les viticulteurs les plus touchés, conformément à la demande de la profession, mais a aussi proposé un travail, déjà engagé, sur un dispositif assurantiel :
- 1 million d’euros pour accompagner les tensions en trésorerie à venir qui seront votés en urgence, dès la semaine prochaine ;
- Soutenir toutes les démarches facilitant les achats de vendange et la mobilisation des réserves, pour que les viticulteurs les plus touchés ne perdent pas leurs marchés ;
- Continuer à financer les dispositifs de protection et les améliorer (radars et ballons), conformément à l’action que la Région mène déjà depuis des mois sur ce point ;
- Sur le moyen terme, Laurent Wauquiez a indiqué qu’il travaillait depuis plusieurs mois avec les assurances, pour mettre en place un dispositif régional, co-abondé par la Région et les Fonds européens, visant à ce que les viticulteurs puissent avoir accès à l’assurance. Toutefois, pour cela, il faut une autorisation du Gouvernement à travailler sur une expérimentation spécifique, autorisation dont la Région ne dispose pas pour le moment.
Emilie Bonnivard s’engage à poser la question au Ministre de l’agriculture, afin que nos agriculteurs puissent s’assurer et a minima en cas de coup de dur, et n’aient pas s’interroger sur la survie de leurs exploitations lors d’évènements similaires à ceux du week-end dernier.
Le 18 juin, la députée de la Savoie s’est rendue au Mont-Valérien pour célébrer l’appel du Général de Gaulle et honorer la mémoire de toutes celles et ceux qui ont combattu, résisté, souffert, ou ont été fusillés pour notre liberté.
Elle remercie son collègue Daniel Fasquelle d’avoir organisé cette cérémonie.
Les 15, 16 et 17 juin ont été l’occasion pour Emilie Bonnivard de rencontrer un grand nombre de savoyards à travers divers évènements locaux. Elle a ainsi pu assister à :
- manifestation pour le maintien d’une classe à l’école de Laissaud, avec les parents d’élèves, madame le Maire et les Maires du RPI (on le voit bien à effectif constant et avec des dédoublements de classes dans les zones urbaines sensibles, les fermetures sont ciblés dans les territoires ruraux pour une partie importante),
- visite de Fibretik, structure d’insertion effectuant un magnifique travail sur la Combe de Savoie, avec un beau projet de recyclerie,
- réunions de travail avec la structure, départementale des Gîtes de France, accueil de qualité, personnalisé qui s’est parfaitement adapté à la transition numérique,
- journée nationale des Sapeurs Pompiers de Savoie à Chambéry,
- 40 ans du tennis club de La Ravoire, actif et plein de projets,
- 80 ans du Club de foot de Cuines/La Chambre, superbe fête avec tous les anciens
Le 17 juin, au lendemain d’un violent épisode de grêle ayant endommagé un grand nombre de vignobles savoyards, Emilie Bonnivard était aux côtés du Préfet de Savoie, des viticulteurs, et de leurs représentants ainsi que des maires des communes touchées.
Certains viticulteurs ont perdu plus de 80% de leur production. Tout le vignoble a été touché de Saint-Baldoph, à Chignin, en passant par Apremont et Myans. Les sarments ont été si abîmés, que ce sont certainement deux ans de production qui seront affecté par cet évènement, avec un travail supplémentaire à réaliser sur la vigne.
Le Préfet a indiqué que chaque situation ferait l’objet d’un examen attentif. La députée va saisir le Ministre de l’agriculture afin que toutes les mesures annoncées au plus niveau national puissent être mises en œuvre pour nos viticulteurs. L’élue savoyarde avait alerté le Préfet dès le dimanche 16 juin sur l’importance d’un classement en catastrophe naturelle. Elle a également prévenu Laurent Wauquiez, Président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, dès dimanche, que la Savoie aussi était touchée. Après s’être rendu dans la Drôme et l’Isère, celui-ci se rendra en Savoie jeudi 20 juin.
La députée invite nos concitoyens à faire preuve de solidarité à l’égard de nos viticulteurs, qui font face à cette situation dramatique avec beaucoup courage.
[wpvideo Frd51XoB]
Lors de la soirée du 13 juin, de vifs débats ont éclaté à l’Assemblée nationale sur le Lyon-Turin, dans le cadre des discussions portant sur le projet de loi d’Orientation des Mobilités.
Déterminée, la députée de la Savoie a dénoncé les fausses informations relayées par certains militants « no-tav », qui alimentant une minorité de députés n’ayant jamais eu la décence de venir visiter l’infrastructure sur le terrain, et ayant un avis déconnecté de la réalité sur cette nouvelle ligne ferroviaire.
Retrouvez l’échange entre les députés et la ministre ci-dessous ou en cliquant ici.
[wpvideo iLshEmsp]
Le 13 juin, la députée de la Savoie était présente toute la journée dans l’hémicycle afin de participer aux débats portant sur la loi mobilité pour défendre :
- la spécificité du transport dans les secteurs de montagne (pour partie satisfaits) ;
- la relance des trains de nuit, notamment pour les territoires touristiques ;
- l’inclusion dans la loi d’une vraie stratégie de relance du fret ferroviaire, etc.
Emilie Bonnivard a malheureusement dû annuler deux permanences afin de pouvoir travailler sur ce texte d’importance, dont l’examen s’est prolongé dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale. Elle remercie les concitoyens qui n’ont pu la rencontrer ce jour-là pour leur compréhension. La collaboratrice de la députée a cependant pu, de manière exceptionnelle, assurer ces entretiens.
L’élue savoyarde a ainsi pu défendre ses amendements et entendre les réponses de la Ministre.
Retrouvez l’intervention d’Emilie Bonnivard sur la prise en compte des territoires frontaliers dans le projet de loi en cliquant ici ou en regardant la vidéo ci-dessous.
[wpvideo EsibN581]
A la suite du discours de politique générale du Premier Ministre intervenu le 12 juin à l’Assemblée nationale, Emilie Bonnivard s’est exprimé contre le vote de confiance au Gouvernement. Dans un message publié sur les réseaux sociaux, elle revient sur ce choix assumé et en explique les raisons.
« Depuis le début du quinquennat, j’ai agi comme je m’y étais engagée : en députée libre et responsable, avec en ligne de mire, l’intérêt supérieur des Français et des Savoyards.
Le groupe Les Républicains a d’ailleurs eu cette attitude pendant deux ans, loin des caricatures.
Nous avons voté 41% des textes présentés par la Majorité, dont la loi travail, la loi visant à mieux lutter contre la fraude fiscale, etc.
Opposition constructive et responsable.
En revanche, eu égard aux changements de caps récurrents du Gouvernement en deux ans qui est resté fermé à toutes nos alertes sur un certain nombre de choix injustes avant de faire machine arrière suite à une crise sociale majeure (augmentation de la CSG, augmentation massive de la fiscalité sur les carburants sans fléchage des recettes vers la transition écologique, 80 km/h au mépris de la réalité des territoires ruraux, pas de retour sur une politique familiale juste, etc), eu égard également à l’absence de décisions concrètes visant à réduire notre déficit, allant même jusqu’à l’aggraver alors qu’il est réduit partout en Europe, je ne voterai pas la confiance au discours de politique générale du Premier Ministre pour les deux ans à venir.
La confiance s’acquiert par celui qui la demande en prouvant, par ses actes, qu’il en est digne.
Or, dans les annonces présentées cet après-midi, si certaines peuvent être positives, d’autres négatives, aucune n’est financée ! Nous allons donc continuer à creuser la dette au mépris des générations futures. Ce n’est pas responsable.
Or, la confiance implique la responsabilité.
La confiance s’appuie aussi sur une relation de respect réciproque. Or, telle n’a pas été l’attitude de la Majorité depuis deux ans, et ce au détriment des Français. En effet, celle-ci n’a pas su montrer la même responsabilité non-partisane, en rejetant systématiquement nos propositions de loi, même celles dont l’importance exige de voir au-delà des partis, comme notre proposition de loi sur une meilleure inclusion des enfants en situation de handicap à l’école. Idem pour la proposition de loi UDI sur les aidants familiaux ».
L’Association Nationale des Élus de la Montagne a consacré un article sur Emilie Bonnivard dans son magazine mensuel, distribué auprès des élus des territoires de montagne. Cet encart revient sur le travail accompli par l’élue savoyarde en faveur les moniteurs de ski -notamment temporaires- et pour le pastoralisme.
Le 5 juin, Emilie Bonnivard recevait Jocelyn Truchet et Séverine Melchiorre dans son bureau de l’Assemblée nationale, au sujet d’un projet de film sur la bataille des Alpes du printemps 1940, qui a eu lieu à Valloire et Valmeinier.
Un court-métrage prometteur sur notre Histoire grâce à ces deux passionnés ultra-compétents ! Le travail est déjà bien avancé, mais il reste à boucler le budget nécessaire pour la réalisation de ce magnifique projet.
A l’occasion de l’ouverture des débats sur le projet de loi d’Orientation des Mobilités à l’Assemblée nationale, Emilie Bonnivard a défendu dans l’hémicycle la nécessité d’inscrire dans la loi la prise en compte des contraintes et particularités des transports et de la mobilité en territoire de montagne.
Retrouvez son intervention ci dessous ou en cliquant ici.
[wpvideo BuEjwC10]
Taxe de séjour : le 4 juin, Emilie Bonnivard s’est entretenu avec Joël Giraud, rapporteur du budget, sur les problématiques liées à la taxe de séjour, à l’Assemblée nationale dans le cadre d’une réunion de travail.
Après mes nombreuses auditions, la députée de la Savoie a constaté un besoin de simplification du dispositif, aujourd’hui complexe et source d’erreurs potentielles et ce, en dépit du principe de base qui était de retrouver une équité entre les professionnels hôteliers et les loueurs de meublés.
L’élue savoyarde a fait remonter au Rapporteur l’ensemble des difficultés exprimées par des particuliers, par des communes, par des gîtes et refuges, etc.
[wpvideo GbEvdbPY]
Emilie Bonnivard, députée de la Savoie et conseillère régionale, publie son nouveau rapport n°1990 sur l’action extérieure de l’Etat en matière de Tourisme. Début juin, elle interrogeait Jean-Baptiste Lemoyne, ministre en charge du Tourisme, dans le cadre du « Printemps de l’évaluation » qui vise à contrôler la bonne exécution des politiques publiques.
La rapporteure spéciale du budget du Tourisme, a attiré l’attention du Gouvernement sur trois points :
- L’absence d’un ministère gérant seul le portefeuille du Tourisme affecte la performance de l’action de l’Etat dans ce domaine. L’éclatement actuel des compétences est inadapté pour une bonne gestion du secteur
- L’avenir d’Atout France, la structure publique qui assure la promotion de la France à l’étranger, se trouve menacée par un plan social à la suite d’une demande d’économies de plusieurs millions d’euros du Gouvernement
- L’inexistence d’une structuration de l’offre touristique française et l’absence de l’utilisation du tourisme comme vecteur d’aménagement du territoire par le Gouvernement
Le ministre a rappelé l’importance du secteur touristique dans notre pays et concédé que la nomenclature budgétaire relative à ce sujet devrait être simplifiée. Il a cependant jugé peu utile de créer des programmes spécifiques de plusieurs dizaines de millions d’euros afin de soutenir le secteur.
- Rapport d’Emilie Bonnivard sur l’action extérieure de l’Etat en matière de Tourisme :
http://www.assemblee-nationale.fr/15/rapports/r1990-a2.asp - Questions posées par Emilie Bonnivard :
https://www.youtube.com/watch?v=_b_2oO4i500&t=2s - Réponse apportée par Jean-Baptiste Lemoyne :
https://www.youtube.com/watch?v=cyW_KL_6gf0
Fin mai, la députée de la Savoie était engagée tant sur le terrain que dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale afin d’entendre et de porter la voix de nos concitoyens devant le Gouvernement et la représentation nationale.
Le programme était chargé :
- permanence mobile à Saint-Jeoire-Prieure, avec 5 rendez-vous sur des sujets très variés (retraites, filière STAPS à l’université, projet de réhabilitation énergétique de bâtiments de logements touristiques, etc.) ;
- 90 ans d’Arkema à La Chambre, où un investissement de près de 5 millions d’euros est prévu pour améliorer la performance environnementale du site ;
- participation à une réunion avec la Secretaire d’Etat Brune Poirson sur la présidence française de la Convention alpine, où l’élue savoyarde a pu évoquer l’absolue nécessité de parler avec nos collègues italiens, autrichiens et suisses de l’impact de la prédation sur le pastoralisme ;
- Réunion d’échange avec le prochain directeur de l’Office national de la biodiversité.
- Commission des finances où elle a pu évaluer avec la Cour des comptes, les atouts et risques des Sociétés d’économie mixte, notamment en matière d’aménagement du territoire ;
- Réunion de travail avec les dirigeants de RDM Cascades à La Rochette.
A l’occasion du 89e congrès de l’Association Nationale des Elus des territoires Touristiques (ANETT) qui se tenait à La Grande Motte les 15, 16 et 17 mai, Emilie Bonnivard a pu prendre la parole afin de faire part de son expertise sur les enjeux de la rénovation des logements touristiques en zone de montagne.
L’élue savoyarde propose la mise en place de dispositifs fiscaux incitatifs pour les propriétaires de logements touristiques puissent répondre aux demandes nouvelles des clients.
Alors que les élections européennes approchent à grands pas, Emilie Bonnivard organise une réunion publique à La Rochette le 24 mai à 19h en présence de Martine Berthet et Jean-Pierre Vial, sénateurs de la Savoie.