Emilie Bonnivard - députée

|  Députée Les Républicains – Conseillère régionale

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Sur le terrain

Crues en Haute-Maurienne

Les communes de Haute- Maurienne telles que Val-Cenis, Bessans et Bonneval-sur-Arc ont été frappées par des crues qui ont causé des dégâts considérables. Elles ont été touchées en juin une première fois, puis une seconde en septembre. Les communes de Bessans et Bonneval-sur-Arc qui ont été les plus touchées ont immédiatement mobilisé des équipes d’urgence pour évaluer les dégâts et sécuriser les zones touchées.

S’agissant de Bessans, le coût global des réparations s’élevant à environ 1 700 000 €.  Emilie Bonnivard s’est pleinement mobilisée et a interrogé la Ministre du Partenariat avec les territoires et la décentralisation pour que les communes soient indemnisées et ne voient pas leur budget grever. La députée a défendu la nécessaire solidarité pour ces communes rurales et de montagne qui sont fortement exposées aux risques naturels. La Ministre a notamment indiqué que les collectivités peuvent demander des avances de 30% au moment de la notification du soutien de l’Etat.

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Actus Dans la presse

Interview radio France bleu

Emilie Bonnivard :

« On ne peut pas mépriser le vote des électeurs du RN – le RN doit être représenté au bureau de l’Assemblée comme c’était le cas depuis 2022 »

« Il n’y a pas de coalition avec Emmanuel Macron, il faudra trouver le meilleur moyen pour répondre aux besoins des Français, avec responsabilité »

« Tous les partis doivent être représentés au Bureau »

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Dans la presse Video

E Bonnivard interroge la Ministre du Partenariat avec les territoires et la Décentralisation le 15 octobre 2024

Lors de l’audition en commission des Lois , mardi 15 octobre 2024 de la ministre du Partenariat avec les territoires et la décentralisation, la Députée Emilie Bonnivard a souhaité l’alerter sur le fonds de péréquation et sur le FPIC car ce sont toujours les mêmes communes qui contribuent au FPIC. Elle a souhaité l’alerter sur la nécessité d’avancer le paiement de la DSEC, notamment pour la commune de Bessans en Savoie, petite commune en grandes difficultés financières.

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A l'Assemblée Actus

Modification du statut du loup : d’espèce strictement protégée à protégée

Pour que la tendance s’inverse enfin !

Mercredi 25 septembre 2024, les représentants permanents des Etats membre puis le Conseil de l’UE se sont prononcés en faveur de la proposition de la Commission européenne d’abaisser le niveau de protection du loup, d’espèce « strictement protégée » à « protégée ».

La proposition a recueilli une majorité qualifiée à Bruxelles lors de la réunion du COREPER grâce au soutien d’une quinzaine d’Etats, dont la France et l’Allemagne. Même la ministre allemande de l’environnement, membre du parti Les Verts, a surmonté ses réserves, tant la coexistence avec les loups est devenue problématique : en 10 ans, on a vu une explosion de la population des loups en Europe, passant de 11 200 individus en 2012 à 20 300 en 2023 avec le constat de dommages croissants subis par le bétail.

La prochaine étape est le passage début décembre de cette proposition devant le comité permanent de la Convention de Berne sur la Conservation de la vie sauvage (directive 92/43/CEE du 21 mai 1992), proposition qui – a priori-devrait être approuvée sans réelle difficulté. La directive « habitats » devrait ensuite être amendée pour une modification de la législation européenne.

Je me suis engagée depuis plus de 10 ans sur ce sujet. Dans mon rapport parlementaire de 2022,

 Rapport d’information, n° 5122 – 15e législature – Assemblée nationale (assemblee-nationale.fr), j’ai démontré qu’il était nécessaire de modifier ce classement, car malheureusement les mesures de protection des troupeaux ne suffisent pas à faire baisser les attaques qui ont explosé ces 10 dernières années. Comme toutes les espèces sauvages qui ne sont pas en voie d’extinction, les loups doivent désormais être régulés pour retrouver un équilibre entre pastoralisme et biodiversité.

Je n’ai cessé de me battre pour les éleveurs, à la Région comme VP à l’agriculture, puis à l’Assemblée nationale et à l’Union européenne, à l’époque avec Michel Dantin. J’ai toujours dit que le combat serait long mais qu’il ne faudrait pas lâcher. Il n’est pas question d’éradiquer les loups mais de retrouver un équilibre pour protéger notre agriculture.

Je me félicite que le politique reprenne la main sur le dossier et que les institutions européennes se mettent enfin à l’écoute des besoins des agriculteurs et des habitants des zones rurales et de montage, souvent désemparés face aux conséquences des attaques.

Le Premier ministre, Michel Barnier, en déplacement au Sommet de l’élevage à Cournon d’Auvergne a salué ce mouvement vers moins d’idéologie et plus de pragmatisme au niveau européen. Sa position est clairement tournée du côté des éleveurs !

Je serai très attentive à la suite du processus au niveau des Institutions européennes, en lien avec les députés européens du groupe PPE fortement engagés sur le sujet.

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A l'Assemblée Actus

Le Doliprane doit rester Français : ne vendons pas nos filières à la découpe aux Américains !

Le groupe Sanofi a annoncé son intention de vendre une partie de sa filiale Opella qui commercialise et produit sur le site de l’usine de Lisieux le Doliprane, à un fonds américain, CD&R.

D’un côté l’Etat soutient la création d’une usine Sequens en Isère pour relocaliser la production du paracétamol en France, et de l’autre il laisse partir sous pavillon étranger un médicament essentiel au quotidien des Français.

Après la période Covid qui a démontré notre fragilité face aux approvisionnements en matière de molécules et de médicaments, l’Etat avait annoncé la relocalisation sur le territoire français de nos capacités de production de médicaments essentiels.

Cette vente est un non-sens en matière de souveraineté sanitaire. Nous ne pouvons laisser filer un pilier de notre industrie pharmaceutique !

S’il est essentiel de préserver notre capacité d’innovation, cela ne doit pas se faire au détriment de la production industrielle nationale.

Pour la sécurité sanitaire des Français, le Doliprane doit rester Français. Il convient d’utiliser tous les outils juridiques pour éviter cette vente. Il faut aussi nous interroger sur les raisons qui font que seuls les Américains sont en capacité de faire cette offre à un groupe français. Nous devons travailler à la création de fonds souverains, français et européens qui garantirait notre sécurité sanitaire et notre souveraineté industrielle en cas de vente.

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A l'Assemblée Actus

Le Pacte législatif d’urgence de la Droite républicaine

La France ne peut plus attendre !

La Droite républicaine, qui est le nouveau nom des Républicains à l’Assemblée nationale, s’est immédiatement mise au travail afin de mettre des propositions sur la table avec un pacte législatif d’urgence pour revaloriser le travail et restaurer l’autorité et aussi éviter le blocage institutionnel pendant des mois.

C’est pourquoi, dans l’intérêt général du pays, le pacte législatif d’urgence nationale proposera 13 textes législatifs autour d’une priorité, trois axes et deux lignes rouges.

« Nous sommes convaincus que ces mesures d’urgence nationale sont à même de rassembler une majorité de Français dans l’intérêt de la France. Elles ont un seul objectif : redresser notre pays pour lui rendre sa souveraineté, sa sécurité et sa prospérité »

 

Notre priorité : valoriser la France qui travaille ou qui a travaillé toute sa vie

L’augmentation réelle et durable du pouvoir d’achat passe par la revalorisation du travail. Le travail en France, tous prélèvements confondus, est taxé à plus de 40% ! C’est le plus haut niveau de prélèvement sur le travail de toute l’Europe. La revalorisation du travail ne passe par des chèques financés à crédit, mais par un meilleur salaire. Notre objectif, par une politique de lutte contre le gaspillage et les abus, sera Nous voulons œuvrer à un nouveau contrat social. L’objectif est de lutter contre les abus sera de réduire progressivement les prélèvements sur les salaires pour rapprocher progressivement le salaire net du salaire brut. C’est ce vers quoi nous devons tendre. Cela sera possible si et seulement si nous redéfinissons nos priorités et si nous réalisons des économies par ailleurs. Nous devons réaffirmer que notre politique sociale doit être recentrée sur la solidarité vitale pour les Français (santé, retraites, assurance chômage en cas de difficulté).

Revaloriser le travail en augmentant le salaire net

Objectifs :      

●Augmenter le salaire net par la baisse des charges. Cet objectif est nécessaire et impliquera des choix et du courage. Il n’est pas question qu’il se fasse au détriment de la solidarité (santé, retraites, assurance chômage, handicap). C’est un choix de responsabilisation collective

●Suppression de tout impôt et de toute charge sur les heures supplémentaires

●Rachat de RTT et relance de l’intéressement, de la participation et de l’actionnariat salarié

Sanctionner les abus et lutter contre le dévoiement de notre système de solidarité

Objectif : que le salaire paie plus que l’assistanat au travers de la fusion des aides sociales en une aide sociale unique plafonnée par rapport au SMIC.


Restaurer l’autorité

Réaffirmer l’autorité de l’État face à la montée des violences et politique de fermeté : les sanctions doivent être appliquées, les courtes peines de prison doivent être un outil de lutte contre la récidive et l’ordre rétabli dans nos rues (lutte contre le trafic de drogue, le trafic d’armes et l’immigration illégale pour une meilleure intégration).

Sanctionner réellement les délinquants : la certitude de la peine

● Instaurer des peines planchers et des courtes peines de prison,

● Suspendre les aides sociales pour les délinquants

● Soutenir nos forces de sécurité avec une présomption de légitime défense et de nouvelles prérogatives pour les polices municipales

● Lutter de façon implacable contre le narcotrafic

Faire respecter nos valeurs

● Faire respecter les valeurs de la France et de la République, et au premier chef la laïcité


Favoriser la production industrielle et agricole dans nos régions plutôt que les importations polluantes

La majorité de notre empreinte carbone provient des importations. Réunir les conditions pour produire davantage en France est à la fois favorable à nos emplois et à l’environnement. Retrouver notre indépendance énergétique et alimentaire est un impératif stratégique.

Plus de liberté à l’intérieur, plus de protection à l’extérieur

● Poursuivre la baisse des impôts de production et taxer les importations polluantes

● Respecter un moratoire sur les normes, refuser les surtranspositions et appliquer la réciprocité et les clauses miroirs dans les accords commerciaux

Mettre en place un vrai projet écologique, l’écologie par les projets plutôt que l’écologie par les normes, une écologie fondée sur des réalités économiques et scientifiques – renforcer le fret ferroviaire et les infrastructures ferroviaires pour les transports du quotidien.

● Mettre en œuvre la préférence locale dans la commande publique et la restauration collective

● Favoriser la transmission des PME et ETI familiales en alignant progressivement le cadre fiscal sur nos voisins européens

Retrouver notre indépendance énergétique et alimentaire pour répondre au défi climatique

● Garantir notre indépendance énergétique en investissant dans les énergies renouvelables et le nucléaire

● Rétablir notre souveraineté alimentaire et agricole en soutenant notre agriculture


Renforcer la solidarité vitale pour les Français

Une des réponses à la crise de la démocratie est de retrouver l’efficacité de l’action publique. L’État doit privilégier les services publics utiles à nos concitoyens (santé, sécurité, éducation). Nous devons œuvrer pour restaurer la cohésion nationale entre métropoles et ruralité.

Priorité aux services publics essentiels : la santé, nos aînés, personnes handicapées et l’école

● Réformer en profondeur l’hôpital, lutter contre les déserts médicaux et faire confiance à la médecine de ville : l’état de délabrement de la santé en France impose désormais des mesures fortes et des capacités budgétaires supplémentaires.

Loi grand âge d’urgence : nos EHPAD sont au bord de la faillite, nos établissements d’accueil de personnes en situation de handicap sont en grande fragilité financière, les métiers du soin n’attirent plus. Retrouver des moyens pour accompagner nos aînés et les professionnels qui les accompagnent.

Débureaucratiser l’hôpital et la santé en général, rénover les hôpitaux de proximité, développer les maisons de santé et une offre de soins palliatifs dans tous les départements

● À l’école, la priorité doit être donnée à la transmission des savoirs fondamentaux, à la promotion du mérite, à une plus grande autonomie des établissements et au respect de la laïcité tout au long du parcours scolaire

Décentraliser, déconcentrer et débureaucratiser, et lutter contre les fractures territoriales

● Faire confiance aux collectivités locales, promouvoir et renforcer les libertés locales et communales pour rompre avec la verticalité française

Réformer la loi SRU (Loi Solidarité par le Renouvèlement Urbain) comme celle du ZAN (Loi Zéro Artificialisation Nette) avec pour ligne directrice une plus grande liberté pour les maires et la prise en compte de la spécificité de chaque territoire


Des lignes rouges claires :

l’arrêt de la dégradation des comptes publics, aucune augmentation d’impôt ni baisse des retraites

Arrêter la dégradation des comptes publics, aucune augmentation d’impôt

Nous sommes la démocratie qui détient le double record des dépenses publiques et des prélèvements obligatoires. Pour réduire les impôts, renforcer les Services publics et investir dans la transition écologique, il faut remettre de l’ordre dans les comptes.

Nous sommes prêts à contribuer immédiatement à un plan d’économies de 25 milliards, dans le prolongement des propositions que nous avions faites l’an passé au Sénat et à l’Assemblée nationale. À l’occasion du prochain projet de loi de finances, nous veillerons à ce que soit respectée la trajectoire de désendettement, notamment en supprimant les agences paraétatiques inutiles et en réduisant les budgets des opérateurs de l’État (qui ont augmenté de moitié en 10 ans pour avoisiner les 80 milliards d’euros).

Aucune baisse des retraites

Ceux qui ont travaillé toute leur vie ne doivent pas être les victimes faciles de la mauvaise gestion de l’État. Les retraités ne doivent pas être des boucs émissaires. Les pensions doivent être revalorisées chaque année au niveau de l’inflation. Les retraités n’ont pas à être les sacrifiés du redressement des comptes publics et de la fuite en avant budgétaire de ces deux derniers quinquennats alors qu’ils ont travaillé toute leur vie.

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Sur le terrain

Emilie Bonnivard pleinement impliquée dans le Comité de ligne 53 – TER :

Emilie Bonnivard a obtenu depuis plusieurs années de la part de la Région et de la SNCF un suivi spécifique de la ligne TER entre Chambéry et Modane en raison des incidences des travaux de modernisation de la ligne historique (régénération des voies) et des travaux du Lyon-Turin, et depuis un an, de la coupure de la ligne à la Praz.

Un suivi est fait sur la régularité des trains et des cars et sur les incidents précis subis sur la ligne, afin de pouvoir identifier précisément l’origine des difficultés et les corriger rapidement. L’objectif est aussi, dans le cadre de réunions en présence du collectif des usagers de la ligne, des élus, des services de la SNCF et de la Région, de pouvoir apporter des réponses d’amélioration du service aux usagers.

Depuis juillet, des incidents à répétition se sont déroulés sur la ligne, faisant chuter le taux de régularité qui était pourtant plutôt correct depuis le début d’année (voir graphique ci-dessous) : l’avancement de travaux sur la ligne, prévus l’année prochaine, anticipés, ont connu des difficultés de réalisations qui a entrainé la multiplication des retards. Par ailleurs, le nouveau transporteur ayant contractualisé avec la SNCF pour le transport par car n’a pas été à la hauteur de son contrat, et les informations en gare pas toujours à la hauteur. De nombreux dysfonctionnements dans les correspondances ont été signalées à Modane, à Saint-Michel-de-Maurienne et à Saint-Jean-de-Maurienne (cars partis sans attendre le train, sous capacité de certains cars, etc.). La difficulté est forte pour tous les usagers, mais plus encore pour les habitants de Haute-Maurienne qui sont contraints de faire des trajets train-car en raison de la fermeture de la ligne.

Emilie Bonnivard a dit le caractère inacceptable de ces retards structurels dus aux travaux qui auraient dû être mieux anticipés, et surtout, mieux communiqués auprès des usagers et du transporteur, afin que le service puisse s’adapter.

Suite à la réunion, il a été obtenu :

  • Un car supplémentaire les mardis soir et vendredis soir (entre Saint-Jean-de-Maurienne et Modane) pour répondre aux problèmes de capacité concentrés sur ces jours.
  • Qu’en cas de retard inférieur à 20 minutes, le car à obligation d’attendre le train pour permettre aux usagers d’avoir leur correspondance. Pour les retards supérieurs, la SNCF travaille à un contrat de permettant de les prendre en charge.
  • Des pénalités aux transporteurs par car lorsque des dysfonctionnements de leur fait sont identifiés.
  • Une meilleure information des personnels de gare pour mieux assurer ces transferts entre train et cars.

D’autres sujets ont été abordés : l’emport des vélos dans le train pour les usagers du quotidien, le retour d’un train direct entre la Maurienne et Lyon, notamment le weekend pour les étudiants (une étude, demandée par Emilie Bonnivard, est actuellement en cours à la Région), les prix des abonnements, etc.

Emilie Bonnivard a demandé pour les usagers abonnés du quotidien, qui ont subi de très nombreux désagréments ces derniers mois, qu’un geste commercial puisse être fait.

Un suivi quotidien de la régularité est mis en place et un point sera fait dans quelques semaines pour évaluer l’amélioration de la situation.

Emilie Bonnivard salue l’esprit constructif et responsable du Collectif des usagers pour leurs alertes, leurs propositions concrètes. Un travail de confiance doit se faire entre tous au bénéfice des usagers.

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Sur le terrain

Commémorations du 80ᵉ anniversaire de la Libération de la Savoie

La Libération de la Savoie de l’occupation nazie a commencé en juin 1944, et s’est poursuivie jusqu’en 1945 grâce aux Alliés et aux forces de la France Libre réunis sous l’office du Général de Gaulle, Résistantes et Résistants, et avec l’action décisive de la Compagnie Stéphane en Maurienne notamment. Côté allemand, des formations d’élite, empruntées aux SS de la 90ᵉ Panzer rattachées à l’Afrika Korps du Maréchal Rommel sont dépêchées d’Italie pour mener le combat en Savoie. La Libération se fera dans la violence, le sang et les flammes. De furieux combats se déroulent en Maurienne entre les soldats allemands et les F.T.P (Francs Tireurs et Partisans Français). Les représailles des nazis ont marqué cette libération (exécutions, incendies de nos villages, etc.).

Cette année a été célébrée dans nos communes les 80 ans de cette Libération. Jamais nous ne devons oublier les causes de la plus grande barbarie de l’Histoire de l’Humanité : l’extermination d’une partie de l’Humanité, l’antisémitisme, le totalitarisme, la domination des peuples, le racisme. Jamais nous ne devons oublier celles et ceux qui se sont sacrifiés pour la France libre, pour nos valeurs d’égalité, de liberté et de fraternité, en subissant parfois, souvent, la torture. Nous leur devons tant.

Emilie Bonnivard a participé à ce titre aux Commémorations de Valloire, Montricher-Albanne, Saint-Julien-Montdenis, Montmélian/Francin, Villargondran et Saint-Jean-de-Maurienne, et s’est rendue à l’hommage fait Renée Portier, Résistante, à Saint-Pierre-de-Soucy.

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Sur le terrain

Soutien à notre patrimoine

 Inauguration de l’église de Lanslevillard :

Emilie Bonnivard a participé à l’inauguration de l’église de Lanslevillard le 31 août.

Il s’agit d’un monument classé au titre des Monuments historiques. Cet investissement a été soutenu financièrement par l’Etat, la Région, le Département et au premier chef, la Commune de Val Cenis. La députée a tenu à rappeler que la préservation de notre patrimoine doit rester une priorité afin que nous transmettions aux générations futures, le patrimoine que nos aïeux nous ont légué. C’est aussi une marque de connaissance de notre Histoire, de l’histoire de l’art et de la manière dont nos ancêtres vivaient, et de leur rapport à la religion et à la spiritualité.

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Sur le terrain

Installation d’une nouvelle Croix au village du Loup à Montaimont

Le 23 août 2024, Emilie Bonnivard était présente lors de l’installation par les habitants du Loup, à Montaimont, de cette Croix ancienne, au bout du village du Loup, avec un panorama exceptionnel, au sein d’un village de montagne typique, particulièrement entretenu et préservé par ses habitants. L’événement était à cette occasion couvert par la Place du Village.