Dans le cadre de ces discussions, j’écoute nos concitoyennes et concitoyens, avec beaucoup d’attention, pour que nous orientions nos décisions en tenant compte réellement et avec efficacité des priorités de la vie dans nos territoires.
La mise en œuvre de réponses concrètes et simples face à la dépendance, à l’allongement de la durée de la vie, et au vieillissement est centrale.
En 100 ans, les françaises et français ont gagné 30 ans d’espérance de vie !
Comment améliorer notre législation pour qu’elle tienne compte de cette tendance avec solidarité pour que nos aînés vivent dans les meilleures conditions possibles, mais aussi avec responsabilité en termes de dépenses publiques ?
– Augmenter le minimum vieillesse pour que nos aînés vivent plus dignement, notamment les épouses n’ayant pas toujours été reconnues dans leur travail au côté de leur époux,
– Former et reconnaître, notamment par des salaires adaptés, les aides à domicile, pour renforcer l’autonomie des personnes âgées,
– Permettre d’accéder plus aisément aux Maisons de retraite.
En revanche il faut être clair et sincère, cette solidarité que nous devons préserver et améliorer pour nos aînés ne sera pas finançable ni possible, si parallèlement on ne prend pas en compte cet allongement de la durée de la vie dans l’âge de départ à la retraite.
L’âge de départ à la retraite doit tenir compte de cet allongement, pour que nous puissions réellement financer les retraites et l’amélioration de la vie de nos aînés, une fois la retraite atteinte.