
Le jeudi 6 février, la Droite Républicaine, Groupe auquel appartient Emilie Bonnivard à l’Assemblée nationale, a choisi eu égard à la situation d’immense tension que vit Mayotte, avec une immigration totalement incontrôlée depuis les Comores, instrumentalisée par Moscou et Bakou, de mettre à l’ordre du jour dans le cadre de sa niche parlementaire, une restriction de l’accès à la nationalité française par le droit du sol à Mayotte.
La Proposition de loi propose que l’accès la nationalité à Mayotte, soit strictement conditionnée à une résidence régulière et ininterrompue des deux parents pendant au moins un an.
Actuellement, il y avait déjà à Mayotte une restriction du droit du sol (modification de 2018), qui prévoyait que les enfants qui naissent à Mayotte de parents étrangers ne pouvaient devenir Français du fait de leur naissance sur ce territoire que si, à la date de leur naissance, l’un de leurs parents au moins résidait sur le sol français, donc à Mayotte, de manière régulière et ininterrompue depuis trois mois.
Le texte va donc au maximum que ce que notre Constitution nous permet en matière de durcissement du droit du sol.
« Ce n’est pas une option, c’est indispensable pour protéger nos compatriotes mahorais alors que l’immigration massive est totalement hors de contrôle, et que la natalité est utilisée comme un outil de régularisation et donc d’accès aux aides françaises. C’est triste à dire, mais c’est malheureusement la réalité ». Il ne s’agit pas de dogmatisme, mais de prendre en compte une réalité dramatique à Mayotte, qu’il est très compliqué de comprendre depuis l’Hexagone.
Actuellement, 90% des accouchements à Mayotte sont issus de parents étrangers. Mayotte est la première maternité de France avec 4 enfants par femme en moyenne, essentiellement étrangères, avec 12 000 accouchements par an. Les Comores revendiquent Mayotte depuis toujours, instrumentalisent le droit du sol Français pour déstabiliser ce département. La Russie et l’Azerbaïdjan soutiennent cette déstabilisation.